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… le point essentiel n'est pas de chanter, mais de participer à la cérémonie au terme de laquelle la nationalité française sera offerte, ce qui me paraît évident. La Marseillaise est effectivement évoquée, mais il n'est pas demandé de la chanter : lisez ! De manière plus fondamentale, j'observe que la République, c'est peut-être d'abord...
Excellent !
Madame Narassiguin, je vous invite à lire attentivement l’amendement de M. Le Rudulier. Je suis au regret de vous l’indiquer – je ne saurais croire que vous avez un problème de lecture –, …
… le point essentiel n’est pas de chanter, mais de participer à la cérémonie au terme de laquelle la nationalité française sera offerte, ce qui me paraît évident. La Marseillaise est effectivement évoquée, mais il n’est pas demandé de la chanter : lisez ! De manière plus fondamentale, j’observe que la République, c’est peut-être d’abord...
Le bicéphalisme, ça ne marche jamais !
À entendre nos collègues des « bancs d'en face », nous sommes d'affreuses personnes, nous n'avons pas de cœur ! Nous sommes alors nombreux dans le monde dans ce cas, mes chers collègues, puisque beaucoup de pays ont instauré, non pas forcément des quotas au sens propre, mais des plans pluriannuels d'immigration. Je pense par exemple au Canada,...
… qui ne sont pas connus pour être des pays fascisants ! Je crois donc qu'il faut savoir raison garder. Je me permettrai un peu d'ironie pour terminer. On nous a parlé de Pierre Mazeaud et de Nicolas Sarkozy ; Roger Karoutchi a cité une loi de 1889. Je remonterai également dans le temps : à une époque, la SFIO, l'ancêtre du parti socialiste, p...
Cherchez, mes chers collègues : vous trouverez ; c'était en 1931 !
À entendre nos collègues des « bancs d’en face », nous sommes d’affreuses personnes, nous n’avons pas de cœur ! Nous sommes alors nombreux dans le monde dans ce cas, mes chers collègues, puisque beaucoup de pays ont instauré, non pas forcément des quotas au sens propre, mais des plans pluriannuels d’immigration. Je pense par exemple au Canada,...
… qui ne sont pas connus pour être des pays fascisants ! Je crois donc qu’il faut savoir raison garder. Je me permettrai un peu d’ironie pour terminer. On nous a parlé de Pierre Mazeaud et de Nicolas Sarkozy ; Roger Karoutchi a cité une loi de 1889. Je remonterai également dans le temps : à une époque, la SFIO, l’ancêtre du parti socialiste, p...
À entendre nos collègues des « bancs d’en face », nous sommes d’affreuses personnes, nous n’avons pas de cœur ! Nous sommes alors nombreux dans le monde dans ce cas, mes chers collègues, puisque beaucoup de pays ont instauré, non pas forcément des quotas au sens propre, mais des plans pluriannuels d’immigration. Je pense par exemple au Canada,...
… qui ne sont pas connus pour être des pays fascisants ! Je crois donc qu’il faut savoir raison garder. Je me permettrai un peu d’ironie pour terminer. On nous a parlé de Pierre Mazeaud et de Nicolas Sarkozy ; Roger Karoutchi a cité une loi de 1889. Je remonterai également dans le temps : à une époque, la SFIO, l’ancêtre du parti socialiste, p...
Cherchez, mes chers collègues : vous trouverez ; c’était en 1931 !
Cherchez, mes chers collègues : vous trouverez ; c’était en 1931 !
Monsieur le président, monsieur le ministre, madame la secrétaire d'État, mes chers collègues, l'article 1er A prévoit l'instauration d'un débat annuel sur la politique migratoire. Il importe de parler d'immigration sans tabou, avec lucidité, calme, et courage peut-être aussi. Depuis des décennies, la politique d'immigration française se fourv...
J'espère, monsieur le ministre, que votre pragmatisme saura le trouver.
Monsieur le président, monsieur le ministre, madame la secrétaire d'État, mes chers collègues, l'article 1er A prévoit l'instauration d'un débat annuel sur la politique migratoire. Il importe de parler d'immigration sans tabou, avec lucidité, calme, et courage peut-être aussi. Depuis des décennies, la politique d'immigration française se fourv...
J'espère, monsieur le ministre, que votre pragmatisme saura le trouver.