Interventions de Philippe Dallier

… j’estime n’en avoir aucune à recevoir ! Je demande simplement que l’on fasse preuve d’honnêteté, en considérant les situations au cas par cas. On ne peut pas faire passer toutes les communes sous la même toise indépendamment de leur situation de départ ! Car l’historique n’est pas sans importance dans cette affaire. Dans ma commune, le prob...

… de ce que je viens de décrire. Ils n’ont pas de caractère politicien. Je forme le vœu que vous les regardiez avec attention et que vous vous demandiez en votre âme et conscience s’ils sont justes ou non. Ne découragez pas les maires qui ont jusqu’à présent respecté la loi et qui sont prêts à faire des efforts !

Je ne parle pas de « tous les maires » ; je parle de ceux qui respectent la loi et qui font des efforts ! J’ai lu ce texte, et je me dis qu’il est à vous dégoûter de vouloir être un bon républicain !

Pas n’importe comment !

Tout en finesse !

Et les neuf millions de salariés qui bénéficiaient des heures supplémentaires ?

Ô combien !

Quel flatteur !

Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, je donnerai à mon rappel au règlement la forme d'un vœu. Hier, après le dîner, est survenu un incident auquel nous n'avons pas voulu, sur le coup, accorder plus d'importance qu'il n'en méritait. Sur un échange pas forcément plus chaud que d'autres, l'un de nos collègues de la ma...

Nous aussi !

Et vous avez fait ce que nous faisons !

Pas pour tout le monde, apparemment !

Cet amendement a été excellemment défendu par notre collègue Pierre Bordier. Le livre n’est effectivement pas un produit comme les autres et l’on peut comprendre que, y compris au sein du même groupe, les opinions puissent diverger. Cela étant dit, nous allons ouvrir la boîte de Pandore, et bien d’autres pourraient effectivement monter au crén...

Ce n’est pas vrai !

Avez-vous seulement été salarié dans votre vie ?

Au rythme où vous y allez !

M. Philippe Dallier. Il faut dire ça là-bas !

Je me demandais comment cela allait finir !

Lorsque le général de Gaulle a lancé le débat sur cette belle idée que sont la participation et l’intéressement, il y avait, souvenons-nous-en, des opposants des deux côtés. D’un côté, les syndicats trouvaient l’idée de l’association du capital et du travail fort dangereuse.

La lutte des classes pouvait, dans leur esprit, en pâtir. De l’autre côté, le patronat ne semblait pas très emballé non plus