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Une règle d'or, gravée sur le fronton...
Cela nous coûterait 16 milliards de capital souscrit, plus 126 milliards de garanties : autant de plus à emprunter.
Il faut bien qu'il se passe chaque jour quelque chose !
C'est prévisible.
Les peuples ? Qu'est-ce ?
Dire que vous n'avez même pas voulu voter cette règle, qui pourtant n'engageait à rien ou presque !
Elle ne fait que reprendre les rapports de la commission des finances, qui dénonce la même chose depuis des années.
C'est la seule chose qui marche !
Cela nous épargne de boire ce calice !
Que vous n'appelez pas de vos voeux, que je sache ? Le collectif vient aussi compenser certaines sous-budgétisations...
Il faut donc réduire davantage les dépenses.
Je vous remercie. Notre commission des finances doit conserver et développer son expertise en matière d'analyse économique et notamment macroéconomique, qui nous différencie de l'Assemblée nationale. À mes yeux, rien n'interdit que la réserve de précaution soit utilisée comme régulateur conjoncturel. Il serait toutefois bienvenu de rappeler l...
Le niveau des dépenses est trop élevé pour rendre crédible la liberté d'emploi de la réserve de précaution. Le Gouvernement, malgré les mesures de rigueur - que vous dénoncez - continue à arbitrer des dépenses trop élevées - que vous avez repoussées au motif que les crédits étaient insuffisants...
Vous demandez vous aussi davantage d'économies ?
De telles mesures ne feront rien pour relancer la croissance et donc améliorer le solde.
Madame la rapporteure générale, comment percevez-vous les analyses de M. Delattre sur le FCTVA ? Pour ma part, je souhaiterais faire observer qu'il y a quelques années avait été évoquée l'idée par Eric Woerth, alors ministre du Budget, - idée fortement combattue par l'opposition sénatoriale d'alors - d'une intégration du FCTVA dans l'enveloppe...
Les euro-obligations n'ont pas été balayées d'un revers de la main.
Vous êtes très à l'aise dans la critique. Profitez-en tant que vous êtes dans l'opposition au Gouvernement !
La parole est naturellement plus libre en commission qu'en séance publique. Chacun gère ses contradictions.