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Il est assez rare que je prenne la parole dans cet hémicycle pour soutenir le Gouvernement. Toutefois, dans le cas qui nous intéresse, je suis un peu sceptique face aux interventions de mes collègues. Monsieur le ministre, j’ai eu l’occasion de vous rencontrer à plusieurs reprises au début de l’année, à la suite des événements qui ont frappé n...
Mais si, monsieur Hyest !
Si, le Conseil d’État l’accepte, et je ne doute pas qu’il soit plus sévère que nous ! Les parlementaires détiennent désormais une véritable responsabilité politique sur le sujet ! Je ne suis pas un soutien du Gouvernement, mais je me vois mal dire à nos services de renseignement que si leur enquête n’a pas abouti au bout de dix jours, c’est bi...
C’est certain !
Je n’avais pas l’intention de prendre la parole sur cet amendement, n’étant pas un spécialiste de ces questions. Pour en revenir au débat précédent, je le dis en toute sincérité à nos collègues socialistes, j’aurais plutôt été favorable au délai de dix jours si j’avais le sentiment que les services de renseignement disposent aujourd’hui du per...
M. Roger Karoutchi. Nous n’en savons rien !
M. Roger Karoutchi. Un partout !
J’ai écouté attentivement Jacques Mézard, mais j’avoue ne pas avoir saisi le lien qu’il établit entre la critique, voire la contestation du régime républicain et le fait d’y porter atteinte. On peut être qui monarchiste, qui bonapartiste, peu importe – c’est intellectuellement possible –, on peut même se présenter aux élections en défendant l’...
En revanche, mettre une bombe au Parlement comme cela se faisait du temps des anarchistes, organiser une manifestation visant à marcher sur le Palais-Bourbon ou sur l’Élysée sont des actes concrets remettant en cause la forme républicaine du régime. Cette distinction est fondamentale ! Le débat public est libre et doit impérativement le reste...
Ce sont les Jeunesses patriotes, créées par Taittinger, qui ont lancé ce mot d’ordre.
Absolument ! C’est même lui qui a empêché que l’on marche sur la Chambre des députés, même si, par la suite, les Croix-de-feu ont connu le destin que l’on sait.
Très bien !
Je n’en voulais pas !
M. Roger Karoutchi. Peut-être…
Ben voyons !
M. Roger Karoutchi. Il ne l’a pas encore présenté !
Nous avons le sentiment que ce qui marche pourrait être laissé en l’état. Tout fonctionne sans drame, le champ d’action de certains des syndicats concernés dépasse même largement le territoire métropolitain. Pour une fois que les élus, toutes tendances politiques confondues, sont plutôt satisfaits, pourquoi changer ce mode de gestion ? Cela n’...
« Autorisés » ?
M. Roger Karoutchi. Sœur Anne…
M. Roger Karoutchi. Madame la présidente, madame la ministre, je ne sais plus trop que dire sur ce débat, je dois l’avouer…