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Interventions en commissions de Roland Ries


267 interventions trouvées.

Après avoir salué la position originale de la CFDT dans l'univers syndical, M. Roland Ries a souhaité savoir si cette organisation estimait que l'autorisation donnée à GDF, par le projet de loi, de se « marier » à une autre entreprise, qu'il s'agisse de Suez ou d'une autre, garantirait au nouveau groupe, en raison de la taille qu'il aurait atte...

a tout d'abord indiqué que l'autopartage consistait, pour une société ou une association, à mettre une flotte d'automobiles à la disposition d'abonnés ou de porteurs de parts de la société pour de courtes durées, de l'ordre de vingt-quatre heures. Il s'agissait donc d'une forme particulière de location et d'une activité tout à fait distincte d...

a déclaré préférer voir adopter un texte de compromis sur l'ouverture du secteur des services, plutôt que de prendre le risque de n'obtenir aucun texte, laissant alors toute latitude à la Cour de justice des communautés européennes sur ce sujet. Se félicitant de la suppression de la référence au PPO à l'article 16 de la proposition de directive...

a relevé que la Chine constituait, en effet, le paradis du capitalisme pour les investisseurs étrangers, en raison de la stabilité politique imposée par le parti unique, des coûts très faibles de main d'oeuvre, d'une protection sociale quasi inexistante et d'un syndicalisme peu revendicatif. Il s'est interrogé sur la quasi impossibilité des pay...

Puis, la commission a désigné M. Roland Ries en qualité de rapporteur sur la proposition de loi n° 183 (2005-2006) tendant à promouvoir l'autopartage.

Se disant frappé par l'extrême fragilité du cycle production-consommation, du fait des conséquences démesurées qu'un incident sanitaire mineur était susceptible d'entraîner, M. Roland Ries a dit son espoir de voir les consommateurs s'attacher davantage aux critères de qualité et d'origine qu'à celui uniquement du prix des produits.

estimant que le bilan des zones franches urbaines n'était pas satisfaisant, ces zones entraînant de trop nombreux effets d'aubaine et un coût très lourd pour la collectivité, a jugé que leur impact sur l'emploi était trop restreint, et que le texte n'apportait rien de nouveau.