Déposé le 17 février 2010 par : MM. Mézard, Collin, Alfonsi, Baylet, Mme Escoffier, M. Fortassin, Mme Laborde, MM. Plancade, Tropeano.
Supprimer cet article.
Les dispositions de cet article, qui renvoient à un décret en Conseil d'Etat les modalités de transmission à la police et à la gendarmerie de l'identité et de l'adresse de personnes condamnées, sont bien trop vagues et encourt un risque d'inconstitutionnalité pour incompétence négative du législateur. De plus, alors que les forces de l'ordre ne disposent déjà pas des moyens nécessaires à l'accomplissement de leurs fonctions, cet article ajoute de nouvelles charges à des fonctionnaires déjà très occupés.
NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.
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