Amendement N° 95 2ème rectif. (Irrecevable)

Relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire

Avis de la Commission : Irrecevable
( amendement identique : )

Déposé le 26 juin 2018 par : Mme Morhet-Richaud, MM. Jean-Marc Boyer, Pellevat, Mmes Duranton, Bonfanti-Dossat, M. Brisson, Mmes Gruny, Berthet, Imbert, M. Revet, Mme Puissat, M. Gremillet, Mme Lamure, MM. Mandelli, Magras, Charon, Mme Lassarade, M. Rapin, Mme Deroche, M. Bouchet, Mme Garriaud-Maylam, M. Houpert, Mme Thomas, MM. Dufaut, Longuet, Mme Deromedi, MM. Duplomb, de Legge, Tissot, Mme Anne-Marie Bertrand, MM. Savin, Sido.

Photo de Patricia Morhet-Richaud Photo de Jean-Marc Boyer Photo de Cyril Pellevat Photo de Nicole Duranton Photo de Christine Bonfanti-Dossat Photo de Max Brisson Photo de Pascale Gruny Photo de Martine Berthet Photo de Corinne Imbert Photo de Charles Revet 
Photo de Frédérique Puissat Photo de Daniel Gremillet Photo de Élisabeth Lamure Photo de Didier Mandelli Photo de Michel Magras Photo de Pierre Charon Photo de Florence Lassarade Photo de Jean-François Rapin Photo de Catherine Deroche Photo de Gilbert Bouchet 
Photo de Joëlle Garriaud-Maylam Photo de Alain Houpert Photo de Claudine Thomas Photo de Alain Dufaut Photo de Gérard Longuet Photo de Jacky Deromedi Photo de Laurent Duplomb Photo de Dominique de Legge Photo de Jean-Claude Tissot Photo de Anne-Marie Bertrand 
Photo de Michel Savin Photo de Bruno Sido 

Compléter cet article par deux phrases ainsi rédigées :

En application de l’article L. 214-5 du code rural et de la pêche maritime, le ministre chargé de l’agriculture désigne un centre national de référence en matière de bien-être animal pour apporter une expertise technique sur l’impact de la prédation du loup et des mesures de protection des troupeaux sur le bien-être des animaux d’élevage. Ses membres ne sont pas rémunérés et aucun frais lié au fonctionnement de ce centre ne peut être pris en charge par une personne publique.

Exposé Sommaire :

En effet, tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce. Or, en zone de prédation du loup, y compris avec des mesures de protection, les impératifs biologiques des brebis qui ont besoin de manger sur des espaces étendus avec tranquillité et en prenant le temps nécessaire ne sont pas respectés. Brebis et agneaux ne doivent pas se retrouver confinés en bergerie, ce qui va à l'encontre d'une part, des impératifs biologiques de la pratique pastorale et d'autre part, des attentes des consommateurs qui aspirent à des produits naturels, de qualité.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

Déclaré irrecevable au titre de l'article 45, alinéa 1, de la Constitution par la commission saisie au fond

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