Amendement N° 400 rectifié (Rejeté)

Mise au point au sujet d'un vote

Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendements identiques : 232 232 )

Déposé le 25 janvier 2019 par : M. Martial Bourquin, Mme Espagnac, MM. Montaugé, Lalande, Tourenne, Mme Artigalas, MM. Durain, Lurel, Mme Tocqueville, MM. Kanner, Antiste, Mmes Bonnefoy, Blondin, MM. Courteau, Duran, Fichet, Mme Monier, les membres du groupe socialiste, républicain.

Photo de Martial Bourquin Photo de Frédérique Espagnac Photo de Franck Montaugé Photo de Bernard Lalande Photo de Jean-Louis Tourenne Photo de Viviane Artigalas Photo de Jérôme Durain Photo de Victorin Lurel 
Photo de Nelly Tocqueville Photo de Patrick Kanner Photo de Maurice Antiste Photo de Nicole Bonnefoy Photo de Maryvonne Blondin Photo de Roland Courteau Photo de Alain Duran Photo de Jean-Luc Fichet Photo de Marie-Pierre Monier 

Supprimer cet article.

Exposé Sommaire :

Les auteurs de l’amendement tiennent à réaffirmer leur opposition à la suppression du seuil de détention par l’État de plus du tiers du capital d’Engie (ex GDF-Suez) ainsi qu’à l’ouverture du capital de GRT-Gaz ; raison pour laquelle ils proposent la suppression de cet article. Ils considèrent qu’une participation importante de l’État au capital d’une entreprise aussi stratégique constitue une garantie en matière d’approvisionnement énergétique de la France.

En dépit de l’introduction par le rapporteur d’une action spécifique, les auteurs de l’amendement continuent à s’inquiéter du devenir de certains actifs stratégiques après la privatisation, notamment des réseaux de transport de gaz naturel, mais aussi des actifs de stockages souterrains de gaz naturel et des installations de GNL ; les droits attachés à cette action spécifique relevant du pouvoir réglementaire.

Ils estiment par ailleurs que dans le contexte actuel de financiarisation de l’économie l’État doit rester fortement présent au capital d’Engie afin d’éviter une captation d’une grande part de la valeur créée au détriment de toutes les parties prenantes, un repli sur des choix de court terme notamment en matière d’investissement (optimisation fiscale, rachat d’actions…), typique du capitalisme actionnarial actuel et qui contreviennent à l’intérêt général.

Pour ces principales rasions, les auteurs de l’amendement souhaitent supprimer cet article.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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