Amendement N° 83 3ème rectif. (Rejeté)

Mise au point au sujet d'un vote

Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendement identique : )

Déposé le 21 janvier 2020 par : MM. Chevrollier, de Legge, Schmitz, Bernard Fournier, Mme Bruguière, MM. Regnard, Morisset, Cardoux, de Nicolay, Vial, Chaize, Meurant, Henri Leroy, Segouin.

Photo de Guillaume Chevrollier Photo de Dominique de Legge Photo de Alain Schmitz Photo de Bernard Fournier Photo de Marie-Thérèse Bruguière Photo de Damien Regnard Photo de Jean-Marie Morisset Photo de Jean-Noël Cardoux Photo de Louis-Jean de Nicolay Photo de Jean-Pierre Vial Photo de Patrick Chaize Photo de Sébastien Meurant Photo de Henri Leroy Photo de Vincent Segouin 

Après l'alinéa 3

Insérer un alinéa ainsi rédigé :

« Les cellules iPS sont utilisées pour la recherche pharmacologique.

Exposé Sommaire :

La recherche pharmacologique a pour principal objectif la mise au point de médicaments. Elle consiste notamment à cribler des molécules, modéliser des pathologies et tester la toxicité des médicaments.

Il est acté de façon consensuelle aujourd’hui que, pour la recherche de l’industrie pharmaceutique, les cellules souches embryonnaires humaines peuvent être remplacées.

L’Académie Nationale de Médecine, l’ABM, l’INSERM, le disent tous : les cellules iPS sont utilisées dans la recherche pharmacologique, avec la même efficacité que les CSEh. Les cellules iPS peuvent même présenter des avantages que les CSEh n’ont pas, comme l’explique l’ABM.

Si les cellules iPS peuvent remplacer les cellules souches embryonnaires pour la recherche pharmacologique, pourquoi ne pas les privilégier ?

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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