Amendement N° 92 3ème rectif. (Rejeté)

Mise au point au sujet d'un vote

Discuté en séance le 29 janvier 2020
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Favorable
( amendements identiques : )

Déposé le 21 janvier 2020 par : MM. Chevrollier, de Legge, Schmitz, Bernard Fournier, Mme Bruguière, M. Regnard, Mme Deroche, MM. Morisset, Cardoux, de Nicolay, Retailleau, Mayet, Vial, Cambon, Henri Leroy, Meurant, Bignon, Chaize, Mandelli, Segouin, Hugonet.

Photo de Guillaume Chevrollier Photo de Dominique de Legge Photo de Alain Schmitz Photo de Bernard Fournier Photo de Marie-Thérèse Bruguière Photo de Damien Regnard Photo de Catherine Deroche Photo de Jean-Marie Morisset Photo de Jean-Noël Cardoux Photo de Louis-Jean de Nicolay 
Photo de Bruno Retailleau Photo de Jean-François Mayet Photo de Jean-Pierre Vial Photo de Christian Cambon Photo de Henri Leroy Photo de Sébastien Meurant Photo de Jérôme Bignon Photo de Patrick Chaize Photo de Didier Mandelli Photo de Vincent Segouin Photo de Jean-Raymond Hugonet 

Alinéa 10

Remplacer cet alinéa par deux alinéas ainsi rédigés :

« Art. L. 2213-4. – Un médecin n’est jamais tenu de pratiquer une interruption de grossesse pour motif médical mais il doit informer, sans délai, l’intéressée de son refus et lui communiquer immédiatement le nom de praticiens susceptibles de réaliser cette intervention.
« Aucune sage-femme, aucun infirmier ou infirmière, aucun auxiliaire médical, quel qu’il soit, n’est tenu de concourir à une interruption de grossesse pour motif médical.

Exposé Sommaire :

Cet amendement prévoit une clause de conscience spécifique pour les professionnels de santé dans les termes votés par l’Assemblée nationale.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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