Amendement N° 15 rectifié (Irrecevable)

Sécurité globale

Avis de la Commission : Article 41
( amendement identique : )

Déposé le 11 mars 2021 par : MM. Levi, Regnard, Decool, Bonhomme, Delahaye, Canevet, Laugier, Bonnecarrère, Mmes Noël, Billon, Dumont, Garriaud-Maylam, MM. Hingray, Le Nay, Mme Joseph, MM. Joyandet, Cigolotti, Médevielle, Guerriau, Nougein, Longeot, Chasseing, Mmes Herzog, Bonfanti-Dossat, MM. Henri Leroy, Wattebled, Favreau, Moga, Mme Laure Darcos, MM. Jean-Michel Arnaud, Duffourg, Mmes Morin-Desailly, de Cidrac.

Photo de Pierre-Antoine Levi Photo de Damien Regnard Photo de Jean-Pierre Decool Photo de François Bonhomme Photo de Vincent Delahaye Photo de Michel Canevet Photo de Michel Laugier Photo de Philippe Bonnecarrere Photo de Sylviane Noël Photo de Annick Billon Photo de Françoise Dumont 
Photo de Joëlle Garriaud-Maylam Photo de Jean Hingray Photo de Jacques Le Nay Photo de Else Joseph Photo de Alain Joyandet Photo de Olivier Cigolotti Photo de Pierre Médevielle Photo de Joël Guerriau Photo de Claude Nougein Photo de Jean-François Longeot Photo de Daniel Chasseing 
Photo de Christine Herzog Photo de Christine Bonfanti-Dossat Photo de Henri Leroy Photo de Dany Wattebled Photo de Gilbert Favreau Photo de Jean-Pierre Moga Photo de Laure Darcos Photo de Jean-Michel Arnaud Photo de Alain Duffourg Photo de Catherine Morin-Desailly Photo de Marta de Cidrac 

Alinéas 6 et 18

Après le mot :

connaissance

insérer le mot :

active

Exposé Sommaire :

Au sujet de l'article 10, selon les alinéas concernés par cet amendement, l’idée est de contraindre un ressortissant d’un État membre de l’Union européenne ou d’un État partie à l’accord sur l’Espace économique européen ou d’un ressortissant d’un pays tiers, à une parfaite maîtrise de la langue française.

Or, la rédaction actuelle semble ambiguë. En effet, la simple « connaissance » d’une langue ne suffit pas car le ressortissant doit également justifier de sa « maîtrise » et donc de son « parler » et de son « écriture ». En d’autres termes, la connaissance passive d’une langue consiste à la comprendre, à reconnaître les mots, sans pour autant la parler voire même l’écrire.

La connaissance active d’une langue permet au contraire de la comprendre mais également de la parler et de l’écrire.

Tel est l’objet de ce présent amendement.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

Déclaré irrecevable au titre de l'article 41 de la Constitution par le Président du Sénat

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