Amendement N° 24 2ème rectif. (Adopté)

Mise au point au sujet de votes

Discuté en séance le 23 janvier 2024
Avis de la Commission : Favorable — Avis du Gouvernement : Favorable
( amendement identique : )

Déposé le 23 janvier 2024 par : Mme Eustache-Brinio, MM. Bazin, Pellevat, Karoutchi, Reichardt, Frassa, Burgoa, Mmes Di Folco, Goy-Chavent, Dumont, MM. Mouiller, Bouchet, Henri Leroy, Panunzi, Mmes Belrhiti, Aeschlimann, Josende, M. Bruyen, Mmes Joseph, Garnier, Borchio Fontimp, Puissat, MM. Paccaud, Sol, Lefèvre, Mme Deseyne, MM. Rapin, Reynaud, Sido, Mme Imbert, MM. Brisson, Naturel.

Photo de Jacqueline Eustache-Brinio Photo de Arnaud Bazin Photo de Cyril Pellevat Photo de Roger Karoutchi Photo de André Reichardt Photo de Christophe-André Frassa Photo de Laurent Burgoa Photo de Catherine Di Folco Photo de Sylvie Goy-Chavent Photo de Françoise Dumont 
Photo de Philippe Mouiller Photo de Gilbert Bouchet Photo de Henri Leroy Photo de Jean-Jacques Panunzi Photo de Catherine Belrhiti Photo de Marie-Do AESCHLIMANN Photo de Lauriane JOSENDE Photo de Christian BRUYEN Photo de Else Joseph Photo de Laurence Garnier 
Photo de Alexandra Borchio Fontimp Photo de Frédérique Puissat Photo de Olivier Paccaud Photo de Jean Sol Photo de Antoine Lefèvre Photo de Chantal Deseyne Photo de Jean-François Rapin Photo de Hervé REYNAUD Photo de Bruno Sido Photo de Corinne Imbert 
Photo de Max Brisson Photo de Georges NATUREL 

Texte de loi N° 20232024-259

Article 10 bis

Remplacer les mots :

après le mot : « constatées, », sont insérés les mots : « dont

par les mots :

les mots : « pénalement constatées » sont remplacés par les mots : «, dont

Exposé Sommaire :

La combinaison des articles L. 742-6 et L. 742-7 du code de l’entrée et du séjour des étrangers en France n’autorise la prolongation jusqu’à 210 jours de la rétention administrative d’étrangers faisant l’objet d’une décision d’expulsion pour des activités à caractère terroriste que lorsque ces dernières ont été pénalement constatées. L’arrêté d’expulsion a toutefois le caractère d’une mesure de police administrative et son prononcé est, de jurisprudence constante, indépendant d’une condamnation pénale. Il est donc paradoxal que ce critère, qui n’est par ailleurs pas mentionné dans la « directive retour », soit pris en compte pour la prolongation de la rétention administrative des intéressés.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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