Amendement N° 38 rectifié (Tombe)

Marché locatif

Discuté en séance le 21 mai 2024
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendements identiques : 144 )

Déposé le 17 mai 2024 par : M. Féraud, Mmes Artigalas, Espagnac, MM. Kanner, Stanzione, Ros, Montaugé, Bouad, Cardon, Mérillou, Michau, Pla, Redon-Sarrazy, Tissot, Cozic, Raynal, Mmes Blatrix Contat, Briquet, MM. Éblé, Jeansannetas, Lurel, Fagnen, Mmes Linkenheld, Lubin, Monier, MM. Roiron, Uzenat, Mme Brossel, les membres du groupe Socialiste, Écologiste, Républicain.

Photo de Rémi Féraud Photo de Viviane Artigalas Photo de Frédérique Espagnac Photo de Patrick Kanner Photo de Lucien Stanzione Photo de David ROS Photo de Franck Montaugé Photo de Denis Bouad Photo de Rémi Cardon Photo de Serge Merillou Photo de Jean-Jacques Michau Photo de Sebastien Pla Photo de Christian Redon-Sarrazy Photo de Jean-Claude Tissot 
Photo de Thierry Cozic Photo de Claude Raynal Photo de Florence Blatrix Contat Photo de Isabelle Briquet Photo de Vincent Eblé Photo de Eric Jeansannetas Photo de Victorin Lurel Photo de Sébastien FAGNEN Photo de Audrey LINKENHELD Photo de Monique Lubin Photo de Marie-Pierre Monier Photo de Pierre-Alain ROIRON Photo de Simon UZENAT Photo de Colombe BROSSEL 

Texte de loi N° 20232024-587

Article 1er bis

Alinéa 3

Remplacer le mot :

quatre-vingt-dix

par le mot :

soixante

Exposé Sommaire :

La situation du logement est différente d’une commune à une autre, y compris dans les zones géographiques caractérisées par des déséquilibres du marché locatif. Il faut donc laisser à chaque conseil municipal la possibilité de choisir le plafond du nombre total de jours de location d’une résidence principale : ce sont les élus locaux qui sont les mieux à même d’apprécier où placer le curseur dans la définition de ce plafond, en fonction notamment des tensions constatées sur le marché local du logement et, en particulier des difficultés rencontrées pour se loger par les travailleurs permanents ou saisonniers ayant leur activité professionnelle dans la commune ou encore des déséquilibre engendrés par une concentration de ce type d’activité sur la vie d’un quartier et de ses habitants.

L’esprit partagé de cette proposition de loi est bien de donner des outils permettant aux élus de répondre à des situations variées, il est donc proposé de permettre aux communes qui l’estiment nécessaire d’abaisser le nombre maximal de jours de location à 60 jours, au lieu des 90 jours prévus dans le texte.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

La mention « Tombé » signifie qu'il n'y avait pas lieu de soumettre l'amendement au vote du Sénat dans la mesure où soit l'objectif poursuivi par l'amendement a été atteint par l'adoption d'un autre amendement (ex. : amendement de rédaction globale incluant la modification proposée), soit, au contraire, l'amendement était incompatible avec un amendement précédemment adopté (ex. : l'adoption d'un amendement de suppression fait tomber tous les autres).

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