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Quelle faute de départ ?
Chère collègue, je m’honore d’être l’un de ceux, sur ces travées, qui ont refusé la privatisation des sociétés concessionnaires d’autoroutes. Comme vous voyez, on peut refuser le sectarisme et adopter des positions conformes à ses convictions intimes.
M. Bruno Retailleau. En tout cas, je relève simplement une nouvelle contradiction. Le Gouvernement a beau discuter pour essayer de mieux encadrer, nous savons désormais que les relations entre l’État et les sociétés concessionnaires restent profondément incestueuses.
Au prix d’une nouvelle contradiction !
M. Bruno Retailleau. Ce n’est pas la première fois que je votais en conscience !
Mais bienveillant !
Très juste !
Dans ce cas, il faut le retirer !
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Mes chers collègues, je souscris pleinement aux propos de M. le président de la commission spéciale. Le problème dont il s’agit nous concerne tous – je précise que je ne vise en rien le contenu de ces propositions. On ne peut rectifier un amendement, sur lequel la commission s’est préalablement prononcée, que si la rectification n’emporte pas ...
En l’espèce, c’est bien la situation dans laquelle nous nous trouvons. Notre excellente collègue Évelyne Didier le reconnaît elle-même et semble prête à retirer cet amendement. À mes yeux, ce serait la solution la plus respectueuse des méthodes de travail du Sénat, notamment de l’avis émis par la commission spéciale.
Nous sommes bien d’accord !
Très bien !
Heureusement !
Nous ne le sommes pas !
Très bien !
On est d’accord !
Ils sont nombreux !
Absolument !