cosignée par Bernadette Bourzai, Catherine Génisson, Catherine Tasca, Christiane Demontès, Claire-Lise Campion, Danielle Michel, Delphine Bataille, Dominique Gillot, Françoise Cartron, Françoise Laurent-Perrigot, Gisèle Printz, Jacqueline Alquier, Josette Durrieu, Karine Claireaux, Laurence Rossignol, Marie-Noëlle Lienemann, Maryvonne Blondin, Michèle André, Michelle Meunier, Nicole Bonnefoy, Nicole Bricq, Odette Duriez, Patricia Schillinger, Renée Nicoux, Samia Ghali, Alain Richard, André Vallini, Bertrand Auban, Claude Bérit-Débat, Claude Dilain, Claude Domeizel, Claude Jeannerot, Daniel Raoul, Daniel Reiner, Didier Boulaud, Didier Guillaume, Dominique Bailly, François Marc, François Patriat, François Rebsamen, Gaëtan Gorce, Georges Labazée, Gilbert Roger, Jacky Le Menn, Jacques Berthou, Jacques Chiron, Jacques-Bernard Magner, Jean-Claude Frécon, Jean-Claude Peyronnet, Jean-Jacques Mirassou, Jean-Luc Fichet, Jean-Marc Todeschini, Jean-Pierre Demerliat, Jean-Pierre Michel, Jean-Pierre Sueur, Jean-Yves Leconte, Jeanny Lorgeoux, Luc Carvounas, Marc Daunis, Marc Massion, Marcel Rainaud, Martial Bourquin, Maurice Antiste, Maurice Vincent, Michel Berson, Michel Boutant, Philippe Esnol, Philippe Kaltenbach, Philippe Madrelle, Rachel Mazuir, René Teulade, René Vandierendonck, Robert Navarro, Roger Madec, Roland Courteau, Ronan Kerdraon, Serge Larcher, Simon Sutour, Vincent Eblé, Yannick Botrel, Yannick Vaugrenard, Yves Chastan, Yves Daudigny, Yves Krattinger & Yves Rome
Mesdames, Messieurs, En 1999, à l'initiative du groupe socialiste de l'Assemblée nationale, le Parlement a adopté à l'unanimité une proposition de loi reconnaissant l'état de guerre en Algérie et les combats en Tunisie et au Maroc.
Cette reconnaissance officielle d'un moment dramatique de notre histoire permet de mieux comprendre ce qu'ont vécu tous ceux qui en ont été les acteurs directs : les appelés, les rappelés, les maintenus, les militaires de carrière, les rapatriés, les harkis, en un mot toutes les populations qu'elles soient d'origine européenne ou maghrébine, civiles ou militaires.
Lors des débats parlementaires empreints de solennité et de gravité, l'évocation de tous les drames de la guerre d'Algérie a permis de prendre conscience de l'importance des traumatismes, des souffrances et des incompréhensions qui ont marqué nombre de nos concitoyens et qui perdurent dans notre pays près de quatre décennies après la fin des combats.
Une première étape...
1 commentaire :
Le 16/09/2012 à 09:47, DARGELLY Guy a dit :
Bonjour,
Je n'ai malheureusement pas pu suivre les débats sur votre proposition d'amendement concernant la SA.HLMisation de la SOGINORPA/EPINORPA autrement dit Maisons et Cités et il me serait très agréable de me communiquer tous les tenants et aboutissants relatifs à votre démarche.
D'avace merci.
Cordialement,
GD
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