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Interventions en commissions d'Isabelle Debré


1029 interventions trouvées.

Je profite de cette occasion pour réitérer une demande que j'ai déjà formulée : lorsqu'une réunion se prolonge, il arrive que nous devions la quitter avant son terme pour honorer un rendez-vous ; il serait souhaitable alors que nous puissions confier nous-mêmes, sous une forme manuscrite, notre délégation de vote à un commissaire présent, sous ...

Nous ne connaissons pas toujours l'emploi du temps de nos collègues ni l'état des présents.

Je ne suis pas favorable à ce texte, je vote donc contre cet amendement.

Je vote contre cet amendement. Il ne faut pour autant pas en conclure que je ne soutiens pas le développement des soins palliatifs.

Je confirme que, à la demande de la majorité de mes collègues, le groupe UMP ne prendra pas part aux votes des amendements autres que ceux de suppression.

Je tiens à saluer la mission difficile menée par Jean-Pierre Godefroy qui a travaillé avec beaucoup de sang-froid et d'humilité. Tout ce que je voulais dire l'a été par Bruno Gilles. La loi Leonetti est peu connue et mal appliquée. Nous devons tout faire pour développer les soins palliatifs, comme le fait l'établissement Jeanne Garnier. Une fo...

Votre texte prévoit que la révocation est à tout moment possible : encore faut-il que la personne malade soit en état de le faire.

Et si la personne n'est pas en état de le faire, par exemple si elle est tombée dans le coma depuis sa demande initiale ?

Le débat aura lieu dans l'hémicycle. La question de fond est pour moi la suivante : peut-on ouvrir un droit à tuer ? Je ne parle pas des soins palliatifs, sur la nécessité desquels nous sommes tous d'accord - et je salue l'extraordinaire travail de Jeanne Garnier. Les chiffres que vous avez cités, relativement à l'accès à ces soins, me semblent...

Ce texte ne concerne pas les mineurs, dites-vous, mais pourquoi autoriser l'assistance au suicide à dix-huit ans et demi, et l'interdire à dix-sept ans ? La souffrance a-t-elle changé de nature en quelques mois ?

Oui, mais quand le patient n'est plus en mesure d'exprimer son consentement ?

Dans le cas où des malades ne sont plus en capacité de se donner la mort, vos propositions consistent à en charger une autre personne, ce qui revient à lui donner un pouvoir de tuer.

Cette expression avait à l'origine un sens tout différent : au Moyen-Âge, on l'affichait à la porte des auberges pour indiquer que ceux qui prenaient une chambre devaient aussi dîner.

L'éducation au goût s'effectue dans la cellule familiale. Je reste sceptique lorsque j'entends que certains n'ont pas les moyens de se nourrir correctement : c'est avant tout une affaire d'éducation.

Vous avez cité le chiffre de mille trois cent cinquante agents : cela représente-t-il le même volume de personnel qu'avant la fusion ? Le budget de l'agence est, dites-vous, de 130 millions : quels étaient ceux de l'Afssa et de l'Afsset ? Quid de l'implantation géographique ? Entendez-vous réunir les services sur un même site ?