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Interventions en hémicycle de Marc Massion


568 interventions trouvées.

Mon amendement étant identique à celui de M. Girod, je fais mien l'argumentaire de notre collègue.

Je vous remercie, monsieur le président, d'avoir recadré le débat. Monsieur le ministre délégué, je vous le dis respectueusement, vous avez tout de même un peu dérapé...

...et vous êtes sorti du sujet. Cela étant, si telle est votre conception du débat, je peux venir demain avec la dernière déclaration de Nicolas Sarkozy et en parler pendant un quart d'heure pour vous dire tout le mal que nous en pensons !

Toutefois, je crois que ce n'est pas l'objet du débat budgétaire. Quant aux découvertes que vous avez prétendument faites dans la déclaration du premier secrétaire du parti socialiste, elles sont conformes aux amendements que nous avons déposés au Sénat, notamment sur le bouclier fiscal, pendant la discussion du projet de loi de finances. La d...

Je dois dire, au nom du groupe socialiste, que je regrette le ton agressif et méprisant que prend le ministre délégué pour commenter nos propositions. Je pense que celles-ci ont le mérite d'exister et que, fruit d'un travail approfondi, elles appellent un examen sérieux, sans commentaires méprisants à notre égard. Nous avons encore eu droit à ...

Si vous avez lu le projet socialiste, je ne vois pas pourquoi les déclarations de François Hollande, aujourd'hui, vous font sursauter.

Monsieur le président, messieurs les ministres, mes chers collègues, dès le début de notre débat budgétaire j'avais, par un rappel au règlement, dénoncé la méthode employée par le Gouvernement, qui consiste à alléger la loi de finances et à renvoyer au collectif budgétaire que nous examinerons dès lundi nombre de dispositions importantes que j'...

Échec sur toute la ligne ! Pour les prélèvements obligatoires, les chiffres parlent d'eux-mêmes : 43, 1 % en 2002, 44 % en 2006, ...

M. Marc Massion.... avec, en perspective, plus de 50 % de prélèvements sociaux en 2007, c'est-à-dire les prélèvements qui concernent tous les Français, et une baisse des prélèvements au profit de l'État, résultat de votre politique fiscale, au seul bénéfice des plus fortunés.