Interventions de Marie-Pierre de La Gontrie

Pardonnez-moi, madame la rapporteure, mais je n’ai pas compris votre explication. Si cet amendement pose un problème de rédaction, qu’à cela ne tienne : rectifions-le ! L’objet de notre amendement en revanche est très clair : il est question de pressions exercées à l’encontre d’une personne pour qu’elle manifeste son appartenance à un culte ou ...

Sans explication…

Il y en a partout…

Seulement interrogatif ?

Il n’y aura pas de sanction ?

D’intégration !…

Mais ?

Vous n’allez pas le défendre deux fois !

En écoutant les interventions de chacun, je note combien ce sujet est complexe, mais il n’empêche que la question se pose et que l’échéance approche, y compris à Paris, où beaucoup d’édifices sont concernés. Pour ma part, je ferai la suggestion suivante. Deux amendements ont été déposés, celui de M. Sueur est évidemment bien meilleur.

Précisons tout de même qu’il se pose un petit sujet de gage, puisque ces propositions requièrent un financement. Je veux attirer votre attention, mes chers collègues, et celle du Gouvernement sur le fait qu’il est prévu, dans ces deux amendements, une augmentation de la dotation globale de fonctionnement (DGF). Je le précise sans vouloir gâcher...

Et nous ?

J’ai posé tout à l’heure la même question : elle est malheureusement restée sans réponse !

Ce n’est pas la question !

Il faudra invoquer un motif !

On parle d’associations « accueillant » des mineurs !

Mme Marie-Pierre de La Gontrie. Aïe aïe aïe !

C’est trop facile !

Vous non plus, ma chère collègue !

C’est un espace public !

Je voudrais m’assurer de bien comprendre ce que vient d’affirmer Mme la ministre. Nous proposons de ne pas limiter le dispositif aux seuls encadrants. Or vous venez d’expliquer que l’expérimentation était concentrée sur ces derniers. Mais affirmer que la mesure n’est pas limitée aux seuls encadrants, c’est considérer qu’elle englobe tous les ad...