Photo de Marie-Thérèse Hermange

Interventions en hémicycle de Marie-Thérèse Hermange


904 interventions trouvées.

Par cet amendement, il s'agit de réaffirmer que l'hommage dû par la nation est un devoir de reconnaissance, de mémoire envers les rapatriés, les anciens supplétifs et les victimes civiles. J'ai bien conscience, dans le droit-fil de mon intervention de ce matin, que cette disposition n'a pas une valeur juridique, mais une valeur essentiellement...

Je comprends l'argumentation de M. le ministre. Il est vrai que l'intitulé même du projet de loi laisse entendre que notre pays accomplit un devoir de mémoire. Par conséquent, je retire mon amendement.

Je regrette, monsieur Domeizel, que vous n'ayez pas défendu ce dossier avec autant d'ardeur et de coeur lorsque vos amis étaient responsables des affaires de notre pays !

Monsieur le garde des sceaux, je reprends en quelque sorte « au débotté » une question que voulait poser M. Yann Gaillard, qui ne peut être parmi nous ce matin. Je souscris totalement au libellé de cette question, qui concerne la place réservée, dans l'organisation interne de votre ministère, aux affaires européennes. Comme vous le savez tous,...

Monsieur le ministre, deux de mes collègues vous ont interpellé sur la question relative au SIDA, que je voulais vous poser. En conséquence, je vous interrogerai sur la politique que vous entendez conduire en matière de périnatalité, d'autant que cette politique est, me semble-t-il, liée aux trois missions qui vous sont désormais confiées : les...

Je voudrais rappeler que la prise en charge à domicile d'un enfant, d'une personne âgée ou d'une personne handicapée coûte au minimum six fois moins cher au contribuable qu'une prise en charge dans une structure collective. C'est d'ailleurs pour cette raison que, confronté à la problématique de la garde des enfants dans la capitale, Jean Tiber...

Ce chiffre est en effet à mettre en parallèle avec les 6 000 places de crèche que la municipalité actuelle propose de créer au cours de la présente mandature ; de tels investissements sont en effet lourds pour la collectivité ! Je profite donc de cette intervention pour dire que je regrette que cette disposition ait été récemment supprimée.

Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, le Président de la République a déclaré, en 2003, qu'il n'y avait pas de dynamisme possible pour la France sans la garantie d'une protection efficace pour nos concitoyens, particulièrement dans le domaine de la santé. Mais si un haut niveau de santé est un atout incontestable po...

La France étant confrontée à la dérive de son système de soins, vous nous avez proposé, monsieur le ministre, de le réformer, en vous saisissant à bras-le-corps de cette tâche. Il s'agit d'une réforme volontariste, qui se fonde sur le changement de comportement des différents acteurs de notre système de soins et qui vise à l'amélioration de la...

Cette réforme ayant été adoptée cet été, le cadre est posé. Il importe désormais de mettre en oeuvre l'ensemble des dispositifs destinés à assurer une meilleure efficience globale de notre système de soins. Telle est la tâche à laquelle vous vous attelez et, à ce titre, le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2005 comporte ...

Cette information répond à une nécessité et, pourtant, elle ne semble pas disponible actuellement. Il s'agit ensuite d'interrogations d'ordre financier : le DMP n'est pas le fruit de l'amélioration d'un dispositif existant, c'est bien une création. Et ce serait, vous en conviendrez, une erreur que de mettre en place le DMP par la seule moderni...

C'est la raison pour laquelle nous avons déposé deux amendements qui tendent, de façon assez pratique, à résoudre ce problème. En deuxième lieu, je voudrais dire quelques mots sur le pilotage de l'assurance maladie. Comme vous l'avez indiqué, monsieur le ministre, les nouvelles structures se mettent en place. L'UNCAM, l'Union nationale des ca...

C'est ainsi qu'aujourd'hui nous avons des ARH alors que les DRASS, les directions régionales des affaires sanitaires et sociales, n'ont pas été supprimées, même si, j'en conviens, celles-ci ont une mission plus large que celle de la seule hospitalisation. A l'heure où les relations entre le secteur médical et médico-social s'intensifient, ne se...

De plus, il était financièrement plus intéressant d'hospitaliser les patients à temps complet plutôt que de les traiter en ambulatoire ou en hospitalisation à domicile. Ainsi, monsieur le ministre, cette nouvelle tarification va nécessairement engendrer une réaffectation des lits hospitaliers et va mettre en évidence le véritable taux d'occupa...

En effet, qu'adviendra-t-il, par exemple, des établissements pour lesquels la tarification à l'activité aboutirait à une baisse significative des financements ?

C'est dans ce contexte que l'initiative de la commission des affaires sociales de procéder à une enquête pour accompagner cette grande réforme hospitalière apparaît comme une nécessité. Au-delà de toutes ces dispositions, et afin de répondre au sentiment d'épuisement ressenti par de nombreux personnels hospitaliers, il me semble indispensable ...

Le temps semble comme comprimé, il contracte aussi l'espace et crée ainsi le sentiment d'épuisement que ressentent les personnels et la frustration que connaissent les malades. En effet, de multiples mesures semblent venues d'ailleurs : je veux parler du point ISA, du PMSI, de la T2A... Ces mesures constituent une langue nouvelle, revêtue d'une...