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Je salue la réactivité de votre établissement. Vous avez eu recours à des méthodes innovantes. Si la dématérialisation a tout d'abord surpris, les personnels des services financiers s'y sont bien adaptés. En outre, l'abaissement du seuil d'accès au crédit a été une bonne nouvelle pour les communes rurales.
Il sera sans doute généreux...
M. de Lauzun, par quoi se traduiront ces évolutions pour les banques ? Devront-elles accorder plus de temps au contrôle et aux contrôleurs, et donc moins au financement de l'économie ?
Voulez-vous dire que les contrôles étaient plus complaisants dans un cadre franco-français ?
Le rapporteur général et moi-même souhaitions vous interroger sur le contexte stratégique. L'ouverture du marché postal européen vous incite-t-elle à faire quelques emplettes à l'extérieur de nos frontières ? Par ailleurs, l'augmentation de capital souscrite par l'État et la Caisse des dépôts est-elle entièrement libérée ?
Combien ?
Voilà qui mérite d'être dit ! Une BPI de créée, quatre de supprimées... Cela fait trois BPI en moins !
Nous allons entendre demain David Azéma, qui est à la tête de l'Agence des participations de l'État (APE). Quels sont vos rapports avec l'État actionnaire et passent-ils par l'APE ?
Mme Scialom, ce dispositif est-il malthusien ? Restreint-il la distribution du crédit ? L'uniformisation européenne des critères de prêt fera-t-elle des gagnants et des perdants ? En France, le crédit immobilier se fait en fonction de la solvabilité de l'emprunteur. Dans les pays anglo-saxons, seule la valeur hypothécaire du bien entre en ligne...
Quels sont vos rapports avec CNP Assurances ?
Sinon, des files d'attentes se forment devant les guichets.
Je vous remercie de nous avoir éclairés. La réunion est levée à 19 heures.
Plus il y a de fonds propres cantonnés, moins la banque peut accorder de crédits.
Je donne la parole à Richard Yung, qui a été rapporteur de la loi de régulation bancaire et financière, et est à l'origine de plusieurs résolutions européennes sur ce sujet.
Merci au Bundestag !
Je vous pose à présent les questions préparées par François Marc, rapporteur général La recapitalisation directe des banques en difficulté par le MES a été au coeur de l'actualité lors de la crise espagnole. Une modification du traité est-elle nécessaire ? Quelles sont les positions respectives de la France et de l'Allemagne à cet égard ? Le ...
Les Allemands ne sont pas de cet avis !
Le système financier français, avec ses grandes banques universelles, a bien résisté à la crise, grâce aux leçons tirées des épisodes des années quatre-vingt-dix et à une législation protectrice. Or, il semble que les banques françaises doivent être les principales contributrices au système fédéral que vous nous décrivez avec enthousiasme.
Il paie toujours !
Merci de vos contributions. La réunion est levée à 17 h 08. - Présidence de M. Philippe Marini, président - La réunion est ouverte à 18 heures 05.