Les amendements de Stéphane Ravier pour ce dossier

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Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, il y a onze mois, le couple Macron se rendait au théâtre pour inciter les Français à sortir de chez eux malgré le coronavirus ; les masques ne servaient à rien, il était inutile d’en porter, ils étaient même trop compliqués à utiliser pour certains. Il suffisait de tousser dans le...

En plus des conséquences humaines, la dette explose, nos libertés et notre démocratie sont confisquées. Cependant, combattre l’épidémie n’est pas incompatible avec la relance de l’activité. Il suffit d’écouter les élus locaux, mais si ce gouvernement et ce président de la République écoutaient les élus, cela se saurait et cela se verrait ! Le ...

Je disais il y a un instant que vous hésitiez sur tout. À cela, une exception : votre acharnement à vous attaquer à nos libertés, à toutes nos libertés, individuelles, économiques, démocratiques. Il nous est interdit de consommer, de travailler, de circuler, de débattre, de voter, de prier et, bientôt peut-être, de parler ! Tous ces coups de f...

Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, savez-vous pourquoi on évoque une deuxième vague de l’épidémie ? Parce qu’il y en a eu une première, pardi ! Une première, et vous n’en avez rien appris : neuf mois et 35 785 morts plus tard, vous nous imposez une nouvelle prorogation de l’état d’urgence sanitaire, piétinant allègr...

Je conclus en une phrase : c’est non pas la prorogation de l’état d’urgence sanitaire que nous attendions du ministre de la santé, mais sa démission.

Le 18 février dernier, pour son entrée en matière médiatique, le nouveau ministre des solidarités et de la santé, M. Véran, déclarait que les mesures mises en place par le régime communiste chinois et l’emprise de celui-ci sur les réseaux sociaux avaient permis une bonne gestion de crise. Je rappelle que, selon les chiffres officiels chinois, i...

Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, six semaines après le début du confinement et au moins 25 000 morts, le Gouvernement demande la prorogation de l’état d’urgence sanitaire. C’est tard, c’est même trop tard pour 25 000 Français ! Le peuple français est un grand peuple. Il a enduré les pires souffrances et réalisé...

Je vous l’ai déjà dit il y a trois semaines, monsieur le ministre : vous avez menti et des Français sont morts ! Vous avez menti, et maintenant vous tremblez ! Vous avez peur de la réaction des Français que vous traitez comme des enfants. Vous avez peur de la justice et vous ouvrez grand votre parapluie pour vous protéger des conséquences de vo...

Les Français jugeront… Nous sommes prêts, avez-vous affirmé, monsieur le ministre. Les Français, eux, ne le sont plus : ils ne sont plus disposés à subir les conséquences de votre impréparation et de vos mensonges. Ils ne sont plus prêts à voir l’hôpital public subir des coupes budgétaires, leurs entreprises fermer et leurs emplois détruits, l...

Un état d’urgence doit rester une mesure d’exception, à utiliser dans un cadre précis. C’est le seul moyen d’en faire une arme efficace de notre droit et donc d’en consacrer le caractère exceptionnel. Rappelons que, si nous sommes confinés depuis bientôt deux mois, c’est en raison de l’impréparation du Gouvernement et de son incapacité à gérer...