Amendement N° 25 3ème rectif. (Retiré)

Loi de finances pour 2019

Discuté en séance le 17 juillet 2019
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Demande de retrait
( amendement identique : )

Déposé le 16 juillet 2019 par : Mmes Lamure, Micouleau, M. Daubresse, Mme Morhet-Richaud, MM. Brisson, Panunzi, Mme Berthet, MM. Piednoir, Daniel Laurent, Frassa, Mme Estrosi Sassone, M. Danesi, Mme Deromedi, MM. Genest, Chatillon, Mmes Noël, Bonfanti-Dossat, MM. Revet, Buffet, Vogel, Chaize, Vaspart, Mme Ramond, M. Sido, Mmes Di Folco, Anne-Marie Bertrand, MM. Pierre, Mandelli, Rapin, Bernard Fournier, Lefèvre, Laménie, Mme Canayer.

Photo de Élisabeth Lamure Photo de Brigitte Micouleau Photo de Marc-Philippe Daubresse Photo de Patricia Morhet-Richaud Photo de Max Brisson Photo de Jean-Jacques Panunzi Photo de Martine Berthet Photo de Stéphane Piednoir Photo de Daniel Laurent Photo de Christophe-André Frassa Photo de Dominique Estrosi Sassone 
Photo de René Danesi Photo de Jacky Deromedi Photo de Jacques Genest Photo de Alain Chatillon Photo de Sylviane Noël Photo de Christine Bonfanti-Dossat Photo de Charles Revet Photo de François-Noël Buffet Photo de Jean Pierre Vogel Photo de Patrick Chaize Photo de Michel Vaspart 
Photo de Françoise Ramond Photo de Bruno Sido Photo de Catherine Di Folco Photo de Anne-Marie Bertrand Photo de Jackie Pierre Photo de Didier Mandelli Photo de Jean-François Rapin Photo de Bernard Fournier Photo de Antoine Lefèvre Photo de Marc Laménie Photo de Agnès Canayer 

Alinéa 2

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Le plafond indicatif est ainsi atteint en privilégiant le transport de biens et de services par l’utilisation de tous les moyens de transports alternatifs satisfaisant à une solution durable, et par l’emploi de véhicules à faibles émissions de gaz à effet de serre.

Exposé Sommaire :

Le transport français de marchandises et de services est aujourd'hui largement dominé par le fret routier, avec des conséquences préoccupantes en termes d'émissions de GES. Ainsi, le corridor rhodanien, les accès aux grands cols alpins et pyrénéens, la traversée de l'agglomération lyonnaise et le périphérique parisien, sont autant de goulets d'étranglements où il est possible d'observer une pollution quasi permanente dû au flot incessant de poids lourds.

Pourtant, avec le ferroutage, le fret ferroviaire et fluvial, des solutions alternatives existent, ce que certains de nos voisins européens n'hésitent d'ailleurs pas à utiliser. Il faut citer le transbordement de marchandises par fret ferroviaire, bien supérieur au port d'Hambourg qu'au port de Fos-Marseille. Ce grand port français a l'immense atout d'être relié à son hinterland par une voie navigable ; le Rhône, pourtant ce sont des centaines de milliers de camions qui prennent la route chaque année à son départ. Ces deux exemples illustrent d'un côté le recul du fret ferroviaire français, et de l'autre le sous-emploi de nos voies navigables.

La précision qu'apporte cet amendement a pour objectif d'améliorer le report modal français, afin de satisfaire à l'objectif de réduction des émissions de GES du présent article. Il indique également que le transport de biens et de services par l'emploi de véhicules à faibles émissions de GES est une solution y contribuant.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.

Inscription
ou
Connexion