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Unanimement !
Les états généraux de la démocratie territoriale, organisés en octobre dernier, ont clairement souligné les deux préoccupations principales des élus : l'inflation normative et le statut de l'élu. Le président du Sénat a donc saisi de ces sujets le président de la commission des lois et la présidente de la délégation sénatoriale aux collectivité...
L'article 7, Monsieur Portelli, n'a d'autre objet que d'éviter une irrecevabilité au titre de l'article 40. M. Collombat a déposé de nombreux amendements. Mais pour citer Molière, nous devons faire bonne chère avec peu d'argent. Les crédits sont limités. N'allons pas trop loin, nous risquons de nous voir opposer l'article 40. Je souscris à l'a...
Au CCAS, cela vaut mieux.
Un guide du statut de l'élu local, très bien fait, existe déjà : il a été réalisé par l'Association des maires de France. La proposition de loi comporte des avancées importantes : le doublement de la durée de perception de l'allocation différentielle de fin de mandat, l'exclusion de la fraction représentative des frais d'emploi dans le calcul...
Je suis souvent sur la même longueur d'onde que M. Collombat. Ici cependant, il est difficile de se prononcer par un avis unique tant les dispositions, souvent à portée symbolique, sont nombreuses. J'en approuve certaines, d'autres excèdent l'objet du présent texte. Je demande le retrait de cet amendement.
La dernière loi de financement de la sécurité sociale prévoit que les élus sont affiliés au régime général.
Pour intégrer ces dispositions, il faudrait toiletter le texte de l'amendement.
L'amendement n° 2 tombera sous le coup de l'article 40... L'amendement n° 2 n'est pas adopté. L'article 1er est adopté dans la rédaction issue des travaux de la commission.
Avis favorable.
Fort bien, mais que se passera-t-il si l'élu perd un de ses mandats ? Il ne sera plus écrêté et aura droit à son indemnité. Quoi qu'il en soit, cette affaire sera réglée avec le non-cumul des mandats.
L'amendement n° 23 est irrecevable. L'amendement n° 23 n'est pas adopté.
Cet amendement, en rendant l'affiliation obligatoire, tombe sous le coup de l'article 40.
L'amendement n° 19 est satisfait par l'affiliation au régime général. L'amendement n° 19 est retiré. L'article 2 est adopté sans modification.
Avis favorable. La mesure ne coûtera rien car cette absence s'impute sur le congé payé annuel - sinon, elle n'est pas rémunérée. L'amendement n° 10 est adopté et devient article additionnel.
Le crédit d'heures est un droit mais ce temps d'absence n'est pas rémunéré et il est assimilé à une durée de travail effective pour les droits à congés payés, pour ceux découlant de l'ancienneté. L'amendement est satisfait par la nouvelle rédaction du premier alinéa de l'article L 2123-2 du code général des collectivités territoriales car la me...
D'accord : douze ans, c'est long. L'octroi du statut de salarié protégé est une avancée. J'y suis très favorable.
Il ne s'agit pas ici de l'indemnité différentielle de fin de mandat.
Sur la réintégration, je partage l'avis de M. Anziani : douze ans, c'est trop. Il faut songer à l'employeur. Sur le deuxième point, je maintiens ma position. Il s'agit aussi de protéger l'élu contre toute brimade en réaction à son activité politique mais je reconnais que le statut de salarié protégé n'est pas lié, dans ce cas, à l'entreprise ...
Article 40. L'amendement n° 17 n'est pas adopté. L'article 4 est adopté sans modification, ainsi que l'article 5.