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Plutôt que de revenir sur ce qui a été dit par Gérard Bailly et Odette Herviaux, je voudrais constater que les circuits courts sont une nécessité, qu'on l'a dit lors du Grenelle, mais que cela ne se traduit pas dans la réalité et en particulier au niveau du foncier. Voilà quatre ans qu'on prédisait que l'agriculture aurait disparu des Alpes-Mar...
M. Marc Daunis. Ce temps-là est passé !
Je me réjouis des propos équilibrés du rapporteur après les propos désobligeants, voire méprisants, que certains ont pu par le passé tenir à l'encontre de la politique de la ville. L'enjeu est énorme : l'échec de cette politique minerait nos fondements républicains. Si les crédits ne suffisent pas, toute action est impossible sans eux ! Pour m...
Dans mon département des Alpes-Maritimes, seules trois communes - dont celle que je dirige - respectent leurs obligations au titre de l'article 55 de la loi du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU). Le retard est tel que le contingent préfectoral est intégralement absorbé par le droit au logement opposable...
On le paiera très cher demain !
Le CIR joue un rôle important, nous l'avions vu avec les pôles de compétitivité : il renforce l'effet cluster et les partenariats territoriaux. Cependant, les chercheurs - je le sais, compte tenu de mes liens avec Sophia Antipolis - demandent que le système, qui fonctionne, soit plus lisible et plus stable : nous devons faire passer le message,...
Au reste, la compétition initiale cède le pas, ensuite, à une forme de coopération, appelée la « coopétition ».
L'amendement présente l'immense avantage de favoriser l'élément cluster et de ne pas se limiter aux mutualisations dans un même domaine. Le modèle d'avenir - il suffit, pour s'en convaincre, de penser aux pôles de compétitivité et aux districts italiens - est la plate-forme de coopération.
Dispose-t-on d'une vision analytique des baisses des bénéfices des entreprises publiques ?
Saint Détraigne !
Fayot !
C’est donc que les précédentes étaient mal faites !
Comment peut-on dire cela ?
Politiquement pas nés !
Selon M. Woerth, l’égalité entre les hommes et les femmes progresse. Il n’y a que lui pour oser dire cela dans un débat parlementaire ! C’est un tel déni de la réalité, une telle négation de tous les exemples qui ont été donnés par les uns et par les autres que l’on peut se demander à quoi il sert de débattre. Les seules réponses qui nous sont ...
Et l’essentiel va l’être !
Et encore !
Ça devient pathologique !
Voilà !