Photo de Monique Cerisier-ben Guiga

Interventions de Monique Cerisier-ben GuigaLes derniers commentaires sur Monique Cerisier-ben Guiga en RSS


1005 interventions trouvées.

a rappelé que le Conseil législatif ne pouvait effectivement pas se réunir et qu'il importait de réintroduire le Hamas dans notre jeu diplomatique.

Ont été élus, par acclamation, Mmes Monique Cerisier-ben Guiga, Joëlle Garriaud-Maylam, Dominique Voynet, MM. André Trillard et André Vantomme. En conséquence, le Bureau de la commission est ainsi constitué :

Secrétaires : Mmes Monique Cerisier-ben Guiga, Joëlle Garriaud-Maylam, Dominique Voynet, MM. André Trillard et André Vantomme.

a considéré que l'opinion publique française devait impérativement être mieux informée des enjeux de notre intervention en Afghanistan, dont elle n'a pas aujourd'hui suffisamment conscience. Elle a estimé que l'on ne pouvait qu'appuyer la volonté de renforcer le volet civil de l'action internationale, mais elle a déploré que trop de temps ait é...

Si la chaîne RFI est très peu connue en France, c’est tout simplement parce qu’elle émet seulement en Île-de-France, où elle a 1 million d’auditeurs. Mais, dans le monde, elle en a 46 millions.

À cet égard, permettez-moi de faire référence à l’une des auditrices de cette radio, qui, détenue pendant six ans dans la jungle colombienne, n’a été reliée au monde que par ce seul fil.

Je parle d’Ingrid Betancourt, qui – nous l’avons su un peu tardivement – écoutait RFI depuis son lieu de captivité. C’est d’ailleurs par ce biais que ses enfants et sa famille ont pu lui adresser des messages. Il est vrai que nous avons entendu nombre de philippiques, comme « RFI ne sert à rien » ou « ses programmes en ondes courtes sont ringa...

Par conséquent, je refuse que, par un simple cavalier législatif, on modifie le financement de la seule chaîne d’information internationale que nous ayons en France. Ceux d’entre nous qui s’intéressent aux questions internationales n’écoutent que RFI. Il faut le savoir, RFI tient à garder son autonomie éditoriale. Mais qu’en restera-t-il si l’...

Nous maintenons notre amendement, parce que, selon nous, derrière cet article il n’y a non pas seulement la création d’une holding – cela aurait été très intéressant à étudier si les conditions d’un dialogue social normal avaient été respectées, ce qui n’a pas été le cas –, mais bien plutôt une fusion. Si TV5 Monde a connu plusieurs cri...

a souligné que les préoccupations du rapporteur spécial rejoignaient celles de la majorité des membres des Etats généraux de l'enseignement français à l'étranger. Elle s'est inquiétée des conséquences de la mesure sur l'investissement en faveur des lycées français à l'étranger.

s'est inquiétée de la baisse des moyens consacrés à la diplomatie d'influence, en précisant que les crédits du programme « Rayonnement culturel et scientifique » étaient consacrés à 73 % à l'enseignement du français à l'étranger. C'était sur les crédits des centres culturels que pesaient les économies budgétaires. Elle ne s'est pas montrée favo...

A Mme Monique Cerisier-ben Guiga, rapporteure pour avis au nom de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, qui l'interrogeait sur le reversement effectif des recettes de visas au ministère des affaires étrangères dans le cadre du programme de modernisation triennal, M. Bernard Kouchner a répondu que l'insuffisa...

en remplacement de Mme Paulette Brisepierre, a fait part de ses interrogations, quant à la gestion de la Food and Agriculture Organization (FAO), vivement critiquée dans le cadre d'un récent audit. Elle a souhaité connaître les mesures correctrices demandées par la France et si notre pays envisageait de réviser sa contribution en conséquence.

a salué l'exercice de mise en perspective que constitue l'examen des atouts et des faiblesses de l'aide française. Evoquant les objectifs du millénaire pour le développement, elle s'est demandé si l'on ne confondait pas les manifestations apparentes du dysfonctionnement des sociétés, la pauvreté, avec ses causes profondes. Elle a considéré que ...

Mme Monique Cerisier-ben Guiga. Notre hémicycle est plein de charme, mais il est un peu vide ce soir. Sans le cumul des mandats, il serait probablement mieux garni et vous auriez un public plus nombreux, monsieur le président de la commission.

Le mandat de sénateur est particulièrement riche et intéressant, que vous représentiez des Français établis hors de France ou des Français de métropole. Je remplis le mien pleinement et je plains ceux qui continuent à se disperser, bêtement allais-je dire, entre trente-six mille tâches dont ils ne s’acquittent d’aucune correctement.

Peut-être notre obstination à vouloir à tout prix inscrire dans la Constitution les conditions dans lesquelles une commission pourra être nommée, organisée et fonctionner, afin de régler au mieux les nécessaires redécoupages électoraux, vous étonne-t-elle. Je ne remonterai pas à des temps immémoriaux pour expliquer cet entêtement. Je me conten...