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Rejoignant M. Alain Milon, rapporteur, il a considéré que la non-association des médecins généralistes à la campagne de vaccination avait été une erreur, même si, dans le cas du Royaume-Uni, la vaccination par les médecins généralistes n'a pas permis une meilleure couverture vaccinale qu'en France.
Rejoignant M. Alain Milon, rapporteur, il a considéré que la non-association des médecins généralistes à la campagne de vaccination avait été une erreur, même si, dans le cas du Royaume-Uni, la vaccination par les médecins généralistes n'a pas permis une meilleure couverture vaccinale qu'en France.
a rappelé que, dès juin 2009, l'OMS avait reconnu que l'épidémie était modérément grave. Par ailleurs, en tant qu'ancien rapporteur du projet de loi portant réforme de l'hôpital et relatif aux patients, à la santé et aux territoires (HPST), il a rappelé que c'est le médecin généraliste qui est placé au centre du système de santé. Nous suivre sur les réseaux Liens pratiques Services Nous contacter © Sénat 2023. Tous droits réservés.
a rappelé que, dès juin 2009, l'OMS avait reconnu que l'épidémie était modérément grave. Par ailleurs, en tant qu'ancien rapporteur du projet de loi portant réforme de l'hôpital et relatif aux patients, à la santé et aux territoires (HPST), il a rappelé que c'est le médecin généraliste qui est placé au centre du système de santé.
a rappelé le caractère tardif du constat de la stabilité du virus et a noté que les cas traités par les médecins généralistes n'étaient peut-être pas totalement représentatifs de la virulence du virus, les cas les plus graves étant traités à l'hôpital.
a rappelé le caractère tardif du constat de la stabilité du virus et a noté que les cas traités par les médecins généralistes n'étaient peut-être pas totalement représentatifs de la virulence du virus, les cas les plus graves étant traités à l'hôpital.
a également relevé une déclaration du docteur Foucras faisant état des effets secondaires ressentis par les médecins vaccinés. S'agit-il d'une remise en cause des procédures qui ont été suivies pour autoriser la mise sur le marché des vaccins ?
a également relevé une déclaration du docteur Foucras faisant état des effets secondaires ressentis par les médecins vaccinés. S'agit-il d'une remise en cause des procédures qui ont été suivies pour autoriser la mise sur le marché des vaccins ?
a souhaité savoir quelles leçons peuvent être tirées des modalités d'organisation de la campagne de vaccination et notamment de la mauvaise association des médecins libéraux et des pharmaciens à celle-ci.
a souhaité savoir quelles leçons peuvent être tirées des modalités d'organisation de la campagne de vaccination et notamment de la mauvaise association des médecins libéraux et des pharmaciens à celle-ci.
a fait observer que les réseaux de santé et les pôles de santé fonctionnent bien dans certaines régions, et plus encore lorsque les projets ont été portés par des professionnels charismatiques - médecins ou infirmiers - dont les mentalités et les pratiques médicales ont déjà évolué. En l'absence de leader, peut-on espérer que les professionnels non sensibilisés s'investiront dans de nouveaux projets ? Deux difficultés risquent de se conjuguer : les nombreux départs à la retraite et les réticences des jeunes médecins diplômés à s'installer dans des maisons de santé ou en libéral dans les zones à ...
En réponse à Annick Touba, M. Alain Milon a rappelé que les maisons médicales ont été créées pour assurer des gardes mutualisées grâce au regroupement de plusieurs médecins et font encore partie du paysage institutionnel. Puis il a précisé que la loi HPST ne parle pas de « professionnels de premier recours » mais de « médecins généralistes de premier recours ». Il était, pour sa part, favorable à ce que les infirmiers, au même titre que les pharmaciens et les médecins généralistes, soient intégrés à ce dispositif mais le Parlement en a décidé autrement. Enfin, il...
Aux termes de l’article 29 sexies, le contrat peut faire l’objet d’avenants destinés à y intégrer des objectifs fixés chaque année en matière de maîtrise médicalisée des dépenses d’assurance maladie. Le contrat étant signé entre une organisation, la CPAM, et un médecin, les avenants ne sont proposés que par la CPAM. Le médecin se retrouve donc seul face à un organisme important. C'est la raison pour laquelle j’ai estimé nécessaire de prévoir une protection supplémentaire du médecin.
...ssé à la Haute Autorité de santé un cahier des charges décrivant l'environnement nécessaire pour la chirurgie de la cataracte extra-hospitalière. Le présent amendement a donc pour objet de permettre la prise en charge de l'activité de la chirurgie ambulatoire de la cataracte en milieu extra-hospitalier et son financement dans le cadre de l'objectif des dépenses d'assurance maladie commun au MCO, médecine-chirurgie-obstétrique. D'autres actes chirurgicaux, les actes d'endoscopie, les actes de chirurgie dermatologique – j’évoquerai peut-être tout à l’heure les implants dentaires – peuvent être concernés sur proposition des professionnels de santé après avis conforme de la Haute Autorité de santé. Une convention entre le cabinet libéral, le centre autonome et un établissement de santé public ou p...
… c'est-à-dire à un endroit où les médecins ophtalmologistes pourraient se regrouper. Je rappelle que de telles opérations nécessitent une anesthésie locale, qui se fait généralement maintenant sous forme de gouttes et non plus par injection. Vous avez parlé de choc anesthésique, monsieur Blanc. Je tiens à rappeler que les chirurgiens-dentistes, qui n’ont pas obligatoirement la formation de réanimation qu’ont les médecins, donc les méde...
...a évoqué un sondage réalisé aux États-Unis faisant apparaître qu’il y aurait dix fois plus de risques de mourir d’une opération de la cataracte dans un centre autonome que dans une clinique ou dans un hôpital. Mais, jusqu’à preuve du contraire, c’est bien dans les cliniques et les hôpitaux que surviennent les maladies nosocomiales, et pas encore dans les centres autonomes, ni dans les cabinets de médecin ou de chirurgien.
Le contrat d'amélioration des pratiques individuelles, le CAPI, est un outil de rémunération à la performance qui doit évoluer vers une meilleure prise en compte des intérêts de la profession de médecin généraliste. Pour optimiser le dispositif d'amélioration des pratiques, il semble préférable qu'il soit défini sous forme d'un engagement collectif professionnel avec une gestion conventionnelle de la pédagogie, de l'accompagnement et de l'évaluation. En tant que tel, le CAPI est, comme son nom l'indique, signé individuellement entre le directeur de la caisse et le médecin généraliste, et empêc...
Non, une réaction de médecin !
s'est dit en accord avec Gilbert Barbier sur la difficulté des caisses locales d'assurance maladie à pouvoir apprécier la réalité des prescriptions des médecins.
...s questions ; vient ensuite l'intérêt de l'assurance maladie. Par ailleurs, la loi HPST demande, pour entrer pleinement en vigueur, l'adoption de très nombreux décrets d'application, qui n'ont pas encore été pris, notamment en ce qui concerne la permanence des soins. En ce qui concerne l'exemple de la cataracte, l'évolution technique permet maintenant d'envisager les opérations dans le cabinet du médecin, et non plus nécessairement dans un établissement de santé, ce qui assurerait une diminution conséquente des coûts de cette maladie. Enfin, les 530 millions d'euros de dépassements d'honoraires méritent d'être relativisés lorsqu'on les rapporte au total du déficit de l'assurance maladie.