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Interventions en hémicycle de Philippe Bas


5458 interventions trouvées.

M. Philippe Bas. Des trois amendements en discussion commune, celui-ci est le meilleur

, parce qu’il est le plus ciblé : le dispositif proposé étant moins ouvert, l’adoption de cet amendement n’entraînerait aucun risque d’appel d’air.

M. Philippe Bas. Des trois amendements en discussion commune, celui-ci est le meilleur

Cette disposition est réservée aux seuls Britanniques, propriétaires en France d’une résidence secondaire. Ils ne sont généralement pour rien dans le Brexit, mais celui-ci les a punis ! Laissons-les profiter de leurs résidences secondaires et dépenser leur argent en France. Mes chers collègues, je vous demanderai donc de bien vouloir voter cet...

, parce qu’il est le plus ciblé : le dispositif proposé étant moins ouvert, l’adoption de cet amendement n’entraînerait aucun risque d’appel d’air.

Cette disposition est réservée aux seuls Britanniques, propriétaires en France d’une résidence secondaire. Ils ne sont généralement pour rien dans le Brexit, mais celui-ci les a punis ! Laissons-les profiter de leurs résidences secondaires et dépenser leur argent en France. Mes chers collègues, je vous demanderai donc de bien vouloir voter cet...

Madame la ministre, je comprends que cette question ne relève pas de votre ministère et que vous venez d’assumer la position du Gouvernement. Toutefois, les procédures que vous avez rappelées ne fonctionnent pas bien : elles donnent lieu à des démarches nombreuses et complexes.

Madame la ministre, je comprends que cette question ne relève pas de votre ministère et que vous venez d’assumer la position du Gouvernement. Toutefois, les procédures que vous avez rappelées ne fonctionnent pas bien : elles donnent lieu à des démarches nombreuses et complexes.

Monsieur le ministre, nous formons notre jugement en conscience. Nous avons écouté les arguments de la commission. Nous avons écouté vos réponses et je dois dire que vous ne m’avez pas convaincu.

Vous avez défendu la politique de la solution unique. Vous avez utilisé des arguments d’autorité : vos services ont bien travaillé, je n’en doute pas. Vous les avez, comme vous le dites, « challengés » : c’est votre rôle. À présent, devant nous, vous vous opposez à une modification qui n’affecte que 0, 8 % de la dépense totale et qui – on nous...

qui, en fin de période, seraient beaucoup plus coûteuses, étant donné l’inflation cumulée de toutes les années d’exécution de la programmation. À vous entendre, nous n’avons même pas cette petite marge de manœuvre…

Vous nous parlez budget, vous nous assurez avoir pleinement pris en compte les effets de l’inflation, mais vous ne nous parlez jamais des besoins de nos armées…

La vérité, c’est que nous avons identifié ces besoins à partir des travaux de notre commission, sur la base des auditions qui ont été menées. Ces besoins sont réels : il faut donc trouver les moyens de les financer. Nous vous proposons la solution : vous la refusez. Vous n’êtes pas coopératif avec le Parlement. Nous ne pouvons admettre que vou...

Monsieur le ministre, si vous voulez que nous poursuivions un débat de qualité, il faudrait que vous ne caricaturiez pas les positions que nous sommes amenés à prendre. Personne n’a dit ici que la fiabilité des engagements de la France et des alliances qu’elle a nouées reposait exclusivement sur l’indicateur de 2 % du PIB. Nous disons simplemen...

Monsieur le ministre, nous formons notre jugement en conscience. Nous avons écouté les arguments de la commission. Nous avons écouté vos réponses et je dois dire que vous ne m’avez pas convaincu.

Vous avez défendu la politique de la solution unique. Vous avez utilisé des arguments d’autorité : vos services ont bien travaillé, je n’en doute pas. Vous les avez, comme vous le dites, « challengés » : c’est votre rôle. À présent, devant nous, vous vous opposez à une modification qui n’affecte que 0, 8 % de la dépense totale et qui – on nous...

qui, en fin de période, seraient beaucoup plus coûteuses, étant donné l’inflation cumulée de toutes les années d’exécution de la programmation. À vous entendre, nous n’avons même pas cette petite marge de manœuvre…

Vous nous parlez budget, vous nous assurez avoir pleinement pris en compte les effets de l’inflation, mais vous ne nous parlez jamais des besoins de nos armées…