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Les Républicains saluent la qualité de votre travail sur un texte qui relève plutôt de l'étatisation que de la modernisation et inquiète les acteurs de la santé.
J'en veux pour preuve la rébellion en cours, qui prend sa source dans une incompréhension vis-à-vis de la remise en cause d'initiatives qui répondaient pourtant aux préoccupations des soignants. Le tiers payant est un symbole de ces provocations. Pourquoi le rendre obligatoire, alors qu'il est déjà accessible à tous les praticiens ? En imposan...
J'en veux pour preuve la rébellion en cours, qui prend sa source dans une incompréhension vis-à-vis de la remise en cause d'initiatives qui répondaient pourtant aux préoccupations des soignants. Le tiers payant est un symbole de ces provocations. Pourquoi le rendre obligatoire, alors qu'il est déjà accessible à tous les praticiens ? En imposan...
J'ai co-signé un amendement de suppression, mais je soutiendrai l'amendement n° 136 présenté par M. Yung.
Ils reçoivent les frais de remboursement chez eux.
En outre, les hôpitaux seraient bien incapables de sortir la facture immédiatement. L'amendement n° 383 est adopté ; en conséquence l'article 23 est supprimé.
Qu'en sera-t-il des dépassements d'honoraires ?
A contrario, un GHT peut sauver les petites structures en les regroupant, à condition qu'il y ait une volonté partagée de trouver une complémentarité pour le parcours de soins du malade. Il peut y avoir une tentation hégémonique. La participation des élus constitue une avancée significative. L'amendement n° 393 est adopté.
Il est intéressant qu'ils soient associés au projet de santé.
Ils pourront être dans le comité stratégique.
Les problèmes alimentaires les plus importants sont rencontrés à domicile et non dans les Ehpad. L'amendement n° 330 est adopté et l'article 5 quinquies C est supprimé.
Les problèmes alimentaires les plus importants sont rencontrés à domicile et non dans les Ehpad. L'amendement n° 330 est adopté et l'article 5 quinquies C est supprimé.
Les vaccinations se font à l'occasion des visites obligatoires.
Les pôles de santé résultent de la loi de 2009. Sur le terrain, ils commencent tout juste à se mettre en place. Attention aux usines à gaz qui découragent les bonnes volontés. Nous devons favoriser les initiatives locales, laisser aux territoires la souplesse nécessaire pour organiser la reconquête. Pour cela, gardons-nous de modifier les règle...
Il s'agit d'une assurance obligatoire.
L'alinéa 11 découlait de la volonté de supprimer les communautés professionnelles territoriales. En l'absence d'initiative, l'ARS doit pouvoir provoquer les discussions nécessaires pour organiser les pôles de santé, qui sont conservés. L'amendement n° 363 est adopté.
Nous en revenons aux pôles de santé tels qu'ils existent : autant s'y tenir.
Il faut une continuité entre le sanitaire, le médico-social et le social. Il est logique de replacer l'usager au coeur du dispositif.
La rédaction est claire. Le médico-social implique le département, tandis que le social relève des CIAS et des CCAS. Les élus locaux ne sont pas oubliés dans l'amendement. Rien ne peut se faire sans eux. C'est d'une telle évidence qu'il n'est pas besoin de le préciser.
Selon la volonté locale.