Les amendements de Roger Karoutchi pour ce dossier

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Il y a des caméras dans toutes les grandes villes du monde, qu’elles soient de gauche ou de droite !

L’effort consenti en la matière par le Gouvernement est considérable, et il serait temps et souhaitable que la gauche, dans son ensemble, accepte un vrai débat républicain sur la sécurité. En effet, quoi que l’avenir nous réserve, il faudra bien assurer la sécurité des Français.

Et il faudra continuer de prendre des mesures en la matière. Il est bien de dire au début de son intervention que tout le monde respecte, apprécie, approuve les forces de sécurité. Toutefois, dans le cas présent, il faut aussi affirmer que l’on soutient et respecte les actions de la police nationale et de la gendarmerie.

Il faut le dire ! Monsieur le ministre, le dispositif des policiers patrouilleurs que vous avez mis en place il y a quelques mois a fait ses preuves. Attendons de voir la suite, mais il faudra sans doute l’étendre, car les patrouilleurs jouent un rôle essentiel dans les quartiers et les villes où ils exercent. J’entends dire que nous transfér...

Je vous ferai remarquer que c’est moi qui ai fait créer un chapitre « sécurité » dans le budget de la région d’Île-de-France.

M. Roger Karoutchi. Or il n’a jamais été supprimé depuis lors, pas plus par la gauche que par la droite !

Monsieur Placé, le problème ne se pose pas. La sécurité, c’est une nécessité pour tous. C’est une demande de tous les citoyens.

Mes chers collègues, faites un effort ! Retrouvez un peu de sérénité, et soyez consensuels. Quoi qu’il en soit, monsieur le ministre, vous avez notre soutien plein et entier pour poursuivre et amplifier votre action.

Je suis issu d'un département qui contribue beaucoup au FPIC. Ma position ne résulte donc pas de préoccupations locales. Je suis étonné de la manière dont cette histoire a fonctionné. Il est agaçant de savoir qu'on ne nous a pas fourni des simulations qui existaient si, comme l'affirme le ministre, ces simulations étaient déjà disponibles il y ...

Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, mon temps de parole étant de cinq minutes, mon intervention sera télégraphique. D’abord, merci, monsieur le ministre. Comme l’ont dit plusieurs de mes collègues, ce coup de rabot de 200 millions d’euros ne devrait ni provoquer pareille ire – même si certains font parfois semblan...

Moi aussi ! Vous conviendrez, mes chers collègues, que leurs propos s’apparentent à ceux des élus de droite.

Je ne sais pas qui influence qui. En tout cas, je partage nombre d’arguments de nos collègues Alain Richard, Claude Dilain, Gérard Collomb. Mais, rassurez-vous, je suis également d’accord avec Philippe Dallier, Benoît Huré et les autres intervenants de mon groupe.

Le problème qui se pose, et sur lequel vous reviendrez sans doute, monsieur le ministre, est le suivant : les collectivités plus aisées – ne disons pas « riches » ! – acceptent mal de contribuer à l’effort, tandis que les collectivités bénéficiaires considèrent toujours qu’elles ne reçoivent pas assez. Cela étant, je veux vous expliquer pourqu...

… je peux vous dire que nous sommes favorables à la péréquation et que nous sommes d’accord pour payer notre part.

Nous sommes même prêts à faire un effort supplémentaire, à condition que les critères retenus soient justes et que les charges soient prises en compte. Pensez que, au terme des critères retenus dans le projet de loi de finances initiale pour 2011, la région de l’Île-de-France occupait le dernier rang. Puis, les critères ayant été modifiés, ell...

Je suis parfaitement d'accord avec l'amendement, le Gouvernement peut certainement donner des simulations au 15 février prochain mais il faudrait qu'il propose plusieurs scénarios alternatifs dans ces simulations. Par ailleurs il est anormal que les charges ne soient pas prises en compte au moment du prélèvement. On aboutit en Ile-de-France à d...

Je voterai l'amendement de suppression déposé par Philippe Dallier à l'article 58, car j'en ai assez des méthodes d'apprenti sorcier ! Je suis sidéré de voir que l'on présente des dispositifs de péréquation dans tous les sens, de surcroît non chiffrés. Dans ce système, les responsables des collectivités n'apprennent qu'incidemment quelles seron...

Mes chers collègues, je voudrais rappeler que, ces cinq dernières années, le Royaume-Uni, l'Italie, l'Espagne – celle de M. Zapatero, pas la nouvelle ! – et l'Allemagne ont réduit de 12 % en moyenne les dotations aux collectivités accordées par l'État, qu’il soit fédéral ou unitaire. Je le sais bien, ce n'est pas parce que cela se fait ailleur...

Allons-y, chers collègues ! Mais ne devons-nous pas reconnaître que la multiplication des strates administratives dans notre pays ne rend pas facile une gestion unifiée et ne favorise pas les économies ? Par conséquent, les 200 millions d’euros que l’on demande à nos collectivités sur leurs 200 milliards d’euros de budget sont loin de correspon...

Je suis assez gêné par ces amendements. Ce n’est pas le fond qui me pose un problème, car je suis totalement favorable à la taxe sur les transactions financières. Il y a quelques semaines, dans d’autres fonctions, celles que j’exerçais à l’époque où j’avais l’honneur de représenter la France à l’Organisation de coopération et de développement é...