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Le financement de la sécurité sociale se fait actuellement par des charges sur les salaires qui augmentent les coûts de production et réduisent les ventes. En 2012, les dépenses prévues pour le régime général et actuellement financées par les charges sur les salaires sont relatives à la maladie, la famille et la retraite. La France est le seu...
Madame la ministre, je ne comprends pas ! On vous propose de réduire de 49 % les charges sur les salaires, ce qui est un avantage considérable pour l’entreprise, la production et la relance, et vous refusez ! Pourtant, cela ne changerait rien pour l’État puisque ce sont les entreprises qui, de toute façon, paieraient ces charges sociales. Les g...
N’importe quoi !
Monsieur le président, madame la secrétaire d’État, mes chers collègues, je vais formuler des propositions visant à obtenir des réductions importantes de dépenses, car l’actualité nous oblige à tout faire pour revenir le plus rapidement possible à l’équilibre budgétaire.
Le financement de la sécurité sociale est actuellement assuré par des charges pesant sur les salaires, qui augmentent nos coûts de production et réduisent nos exportations. Une partie de ces charges est acquittée par l’État, sous forme de subvention ; il se substitue ainsi aux contribuables ou aux entreprises, ce qu’il ne devrait pas faire, car...
En dix ans, l’État a ainsi payé 200 milliards d’euros pour que les salariés ne travaillent pas. Il s’est endetté d’autant ; quel beau résultat ! Alors que l’État est confronté à une très grave crise financière et doit à tout prix équilibrer son budget, il n’en prend pas le chemin. Il n’y parviendra pas sans supprimer cette charge due à la mise ...
Si l’on ne fait rien, on ne parviendra jamais à réduire le déficit budgétaire !
En revanche, notre pays sera de plus en plus mal noté, ce qui alourdira encore la charge de sa dette ! Mes chers collègues, l’heure est grave. Il faut faire des sacrifices, il faut travailler plus ! Le coût du travail est trop élevé chez nous et la France ne vend plus rien à l’étranger !
Notre balance commerciale est très gravement déficitaire. La mise en place des deux propositions que je viens de formuler permettrait de relancer l’activité, d’augmenter le pouvoir d’achat et de réduire les dépenses de plus de 35 milliards d’euros, sans aucune augmentation d’impôts ni réduction de prestations : il s’agit de la simple substitut...
Je trouve que cette proposition de loi n'est pas mal et, pour ma part, je pense qu'il faudrait même, en sens inverse, poursuivre l'obligation scolaire jusqu'à dix-huit ans. Demander que les enfants puissent entrer à l'école dès trois ans, ça soulage les mamans et ça permet d'être plus au fait des relations avec les enfants, ce qui n'est pas mau...
Et pourquoi le Gouvernement ne se l'applique-t-il pas ?
Ce n'est pas normal !
Je voudrais préciser que les deux programmes qui m'ont été attribués ne représentent qu'une petite partie de la mission « Travail et emploi ». Ils ne traitent ni de l'apprentissage, ni de Pôle Emploi et ni du financement de la politique de l'emploi qui représente près de 10 milliards d'euros, sujets sur lesquels je souhaite continuer à m'exprim...
A propos du même sujet, je voudrais savoir quelles modalités de financement sont prévues pour ce stade de rugby. L'Etat doit-il participer financièrement à ce projet ?
Quel est le montant de la garantie de l'Etat évoquée par M. de Romanet ?
A-t-on des doutes sur la capacité des États à rembourser leur dette et qu'en est-il de la France ? J'aimerais aussi savoir d'où proviennent ces 440 milliards : fait-on tourner la planche à billet de l'euro ?
J'adresse mes félicitations et mes souhaits de bienvenue à nos nouveaux collègues. Les listes des membres des commissions permanentes ont été validées par le Sénat hier soir ; la commission des finances est désormais composée de 49 membres au lieu de 48. L'ordre du jour appelle l'élection du président de la commission et la constitution de son...
Voici les résultats du scrutin : sur 25 votants, M. Jean Arthuis a obtenu 5 voix et M. Philippe Marini 20. Je proclame donc M. Philippe Marini président de la commission des finances et l'invite à venir me remplacer à ce siège. (Applaudissements à droite) - Présidence de M. Philippe Marini, président -
Je m'étais aussi porté candidat.
La souveraineté du peuple, c’est l’équilibre ! Ne dites pas n’importe quoi !