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J'approuve ce qui a été dit. J'ajouterai simplement que la France a un effort à faire dans le sens de la simplification normative et fiscale. J'émets le voeu qu'une journée par mois voire deux, nous, parlementaires, puissions travailler à simplifier les normes afin de combler notre retard de compétitivité sur les autres pays européens. Consid...
Arrêtons d'enquiquiner les agriculteurs en multipliant les contraintes, sinon il n'y aura plus de production. Les prix agricoles sont soumis à des problématiques boursières. Les économies nord et sud-américaines ont une masse de produits souvent plus rentables, parce qu'OGM, que les petites productions françaises. Les Safer installent parfois d...
Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, mesdames, messieurs les ministres, mes chers collègues, le Président de la République a indiqué qu’il ne convenait pas de sacrifier le pacte de sécurité au pacte de stabilité. Monsieur le ministre des finances et des comptes publics, j’aimerais savoir pourquoi un risque subsisterait de ce cô...
M. Alain Chatillon. Monsieur le ministre, vous le savez, nous avons toujours le souci de l’équilibre et de l’équité, mais aussi celui de faire en sorte que les choses se passent bien.
Aujourd’hui, la dette de l’État atteint plus de 2 000 milliards d’euros, vous le savez comme moi. Nous perdons chaque seconde quelque 2 350 euros, ne l’oubliez pas.
De grâce, supprimons les contraintes que l’on impose à ceux qui créent de l’emploi !
M. Alain Chatillon. Enfin, et je pense que vous serez tous d’accord avec moi, mes chers collègues, il faut que l’État s’applique la même contrainte qu’il nous impose à nous, au sein des collectivités territoriales, à savoir l’équilibre des budgets en fin d’année !
Le compte d'affectation spéciale « Participations financières de l'État » est l'outil budgétaire de contrôle de la gestion du portefeuille financier de l'État. Ses recettes proviennent de la cession des titres détenus par l'État et ses dépenses servent à financer l'entrée ou la montée de l'État au capital de certaines entreprises, ainsi que l...
Je vous propose que nous nous intéressions aux conditions dans lesquelles les banques garantissent aujourd'hui les crédits bancaires. Il faudrait envisager un mécanisme d'auto-assurance, avec une taxe sur les banques qui permettrait d'abonder un fonds d'assurance afin de garantir les PME, les PMI et les ETI.
Nous avons été surpris de l'absence de référence à l'industrie dans le rapport de M. Pisani-Ferry, que nous avons reçu il y a quelque temps. Il est question de prestations de services, de numérique, mais pas de l'industrie en tant que telle, où pourtant 70 000 emplois disparaissent chaque année depuis 1980. Il en reste 2,4 millions actuellement...
Oh !
Je ne peux que marquer mon accord avec la vision qu'ont mes collègues du monde de l'entreprise et de l'industrie. S'agissant de la question de l'égalité des salaires entre la France et l'Allemagne, nous avions constaté dans le cadre de nos travaux d'information antérieurs, que l'on se situait à une moyenne de 30 € de l'heure dans les deux pay...
Les députés européens ne soutiennent pas suffisamment la position de la France. En tant que chef d'entreprise, je n'ai pas pu vendre mes produits en Allemagne, faute d'un label décerné en partie par les industriels. Malgré mes sept ou huit visites à Bruxelles, le sujet n'a jamais été mis à l'ordre du jour. Les demandes allemandes reçoivent un m...
Il faudrait supprimer le mot « encore » dans l'expression « centrales encore sûres » qui figure dans l'objet du n° 252.
Très bien !
Très bien !
Merci de vos propos, qui sont un bol d'air frais. Je rejoins les observations de Yannick Vaugrenard et de quelques autres : les banquiers ne sont plus au service de l'industrie, ce sont désormais des financiers, qui ont cessé d'être à l'écoute de leurs clients. Cela va créer des désagréments de plus en plus vifs. Je m'interroge sur la fiscalit...
Cet amendement est défendu, madame la présidente.
Permettez-moi tout d’abord de vous rappeler, mes chers collègues, que Business France est né de la fusion de deux agences travaillant à l’internationalisation de nos activités : l’Agence française pour les investissements internationaux et UbiFrance. Il me paraît tout à fait anormal que cette structure ne soit pas associée à l’opération qui no...
Je voudrais vous interroger sur plusieurs enjeux forts pour l'industrie. D'abord, sur la formation professionnelle. La France y consacre des sommes considérables, 32 milliards d'euros par an, et pourtant plus de 500 000 emplois par an ne sont pas pourvus, faute notamment de l'inadéquation des compétences des salariés par rapport aux besoins de...