Amendement N° 224 2ème rectif. (Irrecevable)

Mise au point au sujet d'un vote


( amendement identique : )

Déposé le 12 novembre 2018 par : MM. Chasseing, Decool, Capus, Guerriau, Wattebled, Fouché, Alain Marc, Lagourgue, Mme Mélot, MM. Bonhomme, Louault, Huré, Magras, Mme Malet, M. Nougein, Mme Lopez, MM. Loïc Hervé, del Picchia, Henri Leroy, Mme Perrot, MM. Gremillet, Gabouty.

Photo de Daniel Chasseing Photo de Jean-Pierre Decool Photo de Emmanuel Capus Photo de Joël Guerriau Photo de Dany Wattebled Photo de Alain Fouché Photo de Alain Marc Photo de Jean-Louis Lagourgue Photo de Colette Mélot Photo de François Bonhomme Photo de Pierre Louault 
Photo de Benoît Huré Photo de Michel Magras Photo de Viviane Malet Photo de Claude Nougein Photo de Vivette Lopez Photo de Loïc Hervé Photo de Robert del Picchia Photo de Henri Leroy Photo de Évelyne Perrot Photo de Daniel Gremillet Photo de Jean-Marc Gabouty 

Après l'article 39 bis

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après le deuxième alinéa de l’article L. 3121-2 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Le médecin traitant propose tous les ans à ses patients ayant atteint leur majorité sexuelle un dépistage du virus de l'immunodéficience humaine et des infections sexuellement transmissibles. »

Exposé Sommaire :

Cet amendement vise à associer le médecin traitant aux politiques de prévention et de dépistage du virus de l’immunodéficience humaine et des infections sexuellement transmissibles. En effet, ce dernier assure un lien de proximité avec ses patients, à qui il proposera un dépistage régulier.

Selon le Conseil national du Sida et des hépatites virale, « la fréquence des infections sexuellement transmissibles (IST) en général, de l’infection par le VIH en particulier, est élevée et continue à augmenter chez les jeunes ». On observe depuis quelques années une augmentation du nombre de nouveaux cas, ou incidence, d’IST chez les jeunes âgés de 15 à 29 ans, y compris chez les adolescents âgés de 15 à 19 ans. Les données sur l'utilisation du préservatif « renforcent l’observation selon laquelle le VIH n’est plus au centre des comportements de prévention ». Or, on estime à 25 000 le nombre de personnes en France qui ignorent leur séropositivité. Cet amendement vise à engager une première étape dans le déploiement d'une véritable politique de sensibilisation et de dépistage, associant les médecins généralistes.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

Déclaré irrecevable au titre de l'article L.O. 111 3 du code de la sécurité sociale par la commission des affaires sociales

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