Déposé le 3 mars 2020 par : Mmes Di Folco, Marie Mercier, Imbert, Troendlé, MM. Rapin, Husson, Mmes Raimond-Pavero, Dumas, Estrosi Sassone, MM. Paccaud, Piednoir, Mme Gruny, MM. Bascher, Brisson, Mme Deseyne, M. Vogel, Mmes Sittler, Canayer, M. Grand, Mmes Lassarade, Deromedi, Lanfranchi Dorgal, MM. Bernard Fournier, Henri Leroy, Laménie, Duplomb, Sido, Mmes Noël, Deroche, MM. Darnaud, Genest, Mmes Micouleau, Lherbier, Lamure, M. Mandelli.
Alinéas 3, première phrase, 4, 8, 9, 14 et 17
Remplacer le mot :
répit
par le mot :
deuil
La notion de « congé de répit » renvoie à une période de repos, liée à un état passager de fatigue.
La perte d’un enfant va bien au-delà : elle représente une trace indélébile pour les parents. Comme l’a souligné Guy Bricout, « faire le deuil d’un enfant prend des années, voire toute une vie ».
Pour mieux reconnaître la douleur ressentie par les parents, cet amendement propose de revenir à la notion de « congé de deuil ».
NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.
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