Amendement N° II-100 2ème rectif. (Adopté)

Mise au point au sujet d'un vote

Avis de la Commission : Favorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendements identiques : II-34 II-51 II-229 II-418 II-444 )

Déposé le 30 novembre 2023 par : M. Savin, Mmes Puissat, Dumont, M. Milon, Mme Malet, MM. Burgoa, Bouchet, Pellevat, Anglars, Jean Pierre Vogel, Pointereau, Reynaud, Belin, Mmes Ventalon, Borchio Fontimp, M. Brisson, Mme Drexler, M. Michallet, Mme Imbert, M. Gremillet, Mme Petrus, M. Rapin, Mme Di Folco.

Photo de Michel Savin Photo de Frédérique Puissat Photo de Françoise Dumont Photo de Alain Milon Photo de Viviane Malet Photo de Laurent Burgoa Photo de Gilbert Bouchet Photo de Cyril Pellevat Photo de Jean-Claude Anglars Photo de Jean Pierre Vogel Photo de Rémy Pointereau 
Photo de Hervé REYNAUD Photo de Bruno Belin Photo de Anne Ventalon Photo de Alexandra Borchio Fontimp Photo de Max Brisson Photo de Sabine Drexler Photo de Damien MICHALLET Photo de Corinne Imbert Photo de Daniel Gremillet Photo de Annick Petrus Photo de Jean-François Rapin Photo de Catherine Di Folco 

Texte de loi N° 20232024-127

Article 54

Supprimer cet article.

Exposé Sommaire :

Par cet article, le gouvernement met fin au fonds de soutien au développement des activités périscolaires (FSDAP), dispositif créé en 2013 pour aider les communes à mettre en place la réforme des rythmes scolaires.

Le FSDAP est déployé pour les communes qui ont ait le choix de rester à 4, 5 jours d’école par semaine pour les classes maternelles et élémentaires, et de ne pas faire appel à la dérogation de 4 jours. Pour l’année scolaire 2022-2023, 1262 communes étaient ainsi bénéficiaires du fonds pour un total de 41 millions d’euros ; un montant que le gouvernement divise déjà de moitié pour la prochaine rentrée scolaire, mettant en difficulté toutes ces collectivités investies dans leur projet éducatif.

Même si l’étendue de ce fonds a diminué depuis sa création, du fait des nombreuses communes passées à la semaine de quatre jours, son apport reste non négligeable puisqu’il concerne toujours 620.000 élèves, soit 10% des effectifs scolarisés en maternelle et élémentaire en France.

Aussi, cet amendement propose de supprimer l’article 54.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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