cosignée par Bernadette Bourzai, Christiane Demontès, Claire-Lise Campion, Claudine Lepage, Danielle Michel, Dominique Gillot, Françoise Cartron, Frédérique Espagnac, Gisèle Printz, Hélène Conway-Mouret, Jacqueline Alquier, Josette Durrieu, Marie-Noëlle Lienemann, Maryvonne Blondin, Michèle André, Michelle Meunier, Nicole Bonnefoy, Nicole Bricq, Patricia Schillinger, Renée Nicoux, Alain Anziani, Alain Fauconnier, Alain Le Vern, Alain Néri, Bernard Cazeau, Bernard Piras, Daniel Raoul, Didier Boulaud, Didier Guillaume, Dominique Bailly, François Patriat, Georges Labazée, Gérard Miquel, Jacky Le Menn, Jacques Berthou, Jacques Gillot, Jean Germain, Jean-Claude Frécon, Jean-Jacques Filleul, Jean-Jacques Lozach, Jean-Jacques Mirassou, Jean-Louis Carrère, Jean-Pierre Caffet, Jean-Pierre Demerliat, Jean-Pierre Michel, Jean-Pierre Sueur, Jean-Yves Leconte, Luc Carvounas, Marc Massion, Marcel Rainaud, Maurice Vincent, Michel Berson, Michel Boutant, Michel Teston, Michel Vergoz, Philippe Esnol, Philippe Kaltenbach, Rachel Mazuir, René Teulade, René Vandierendonck, Richard Yung, Robert Navarro, Roger Madec, Roland Courteau, Roland Povinelli, Ronan Kerdraon, Serge Andreoni, Simon Sutour, Thani Mohamed Soilihi, Vincent Eblé, Yannick Botrel, Yannick Vaugrenard, Yves Chastan, Yves Daudigny, Yves Krattinger & Yves Rome
Mesdames, Messieurs, Depuis quelques années et grâce à quelques événements médiatiques, notamment l'histoire de Vincent HUMBERT qui a ému la France entière, la question de la fin de vie a pris une ampleur particulière et a provoqué de nombreux débats chargés d'émotion.
Ces débats ont permis des évolutions positives.
Ils ont notamment conduit notre société à s'interroger sur la place qu'elle fait aux personnes malades et aux mourants alors que pendant longtemps, en France, comme dans d'autres pays essentiellement latins, on constatait un très grand déficit de la réflexion et de l'action sur la façon de développer la qualité de vie des malades et de répondre à la multiplicité des besoins des patients, souvent dépossédés d'eux-mêmes.
Ces débats ont également permis, grâce à la loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie, de consacrer le principe de l'obstination déraisonnable et le droit au refus d'un traitement ; et depuis...
1 commentaire :
Le 16/09/2012 à 09:47, DARGELLY Guy a dit :
Bonjour,
Je n'ai malheureusement pas pu suivre les débats sur votre proposition d'amendement concernant la SA.HLMisation de la SOGINORPA/EPINORPA autrement dit Maisons et Cités et il me serait très agréable de me communiquer tous les tenants et aboutissants relatifs à votre démarche.
D'avace merci.
Cordialement,
GD
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