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Interventions en commissions d'Isabelle Debré


1029 interventions trouvées.

Avec Jean-Pierre Godefroy, nous nous sommes toujours retrouvés sur la question de la pénibilité. A titre personnel, je suis favorable à une retraite par points qui en tiendrait compte. Je rappelle que la France est l'un des seuls pays au monde à reconnaître la pénibilité. Madame Demontès, c'est nous qui avons instauré l'obligation pour les en...

nous approuvons l'objectif prioritaire de désendettement, mais le Gouvernement le proclame sans le mettre en pratique. Je précise à Aline Archimbaud qu'aucune disposition du PLFSS ne porte spécifiquement sur la répartition des médecins, sujet pour lequel je ne vous proposerai aucun amendement, car ce débat sera évidemment évoqué au cours de ...

Au nom du groupe UMP, je vous précise que, n'ayant pas eu le temps d'examiner les amendements, nous réserverons nos interventions pour l'hémicycle. Nous ne prendrons pas part aux votes aujourd'hui. L'amendement n° 1 est adopté.

Qu'on ne se méprenne pas sur le sens de notre position. Nous avons besoin de temps pour étudier ces propositions. En séance, nous voterons contre certaines, mais pourrons nous abstenir sur d'autres, voire les voter.

Il sera manifestement impossible d'examiner ce matin les 134 amendements déposés. Est-il prévu de tenir une autre réunion de commission ?

Il n'est pas possible de nous réunir mardi pour établir le texte de la commission qui sera discuté mercredi en séance publique !

Je reviens sur les doublons. En préparant mon rapport sur les mineurs étrangers isolés, j'avais constaté qu'une même personne pouvait faire l'objet de plusieurs tests d'âge par radiographies dans différents départements. La question n'est pas de dépenser plus ou de dépenser moins, mais de dépenser mieux. Il y va d'ailleurs de la santé publique ...

Je trouve regrettable de n'avoir prévu qu'une heure pour l'audition du principal ministre concerné par le PLFSS.

Je serai brève. Ma question portera sur le conditionnement des médicaments. Il n'est par exemple pas normal qu'une prescription pour vingt jours donne lieu à l'achat d'une boîte de médicaments valable pour un traitement de trente ou quarante jours.

Quels retours avons-nous sur l'expérimentation, en cours, du dossier médical personnel ? Est-ce un moyen de rationalisation efficace ?

Nombre de vos recommandations sont semblables à celles qu'avait émises notre commission. Seront-elles suivies d'effet ? Pourriez-vous nous préciser ce que serait le dispositif d'intéressement collectif et comment il serait mis en place ?

Il serait bon, en effet, de reprendre ultérieurement la réflexion sur ce point.

Je regrette la suspicion systématique de certains collègues envers les employeurs, dont l'intérêt bien compris est que les salariés soient en bonne santé, donc efficaces.

Ce dispositif, inspiré par une réelle volonté de transparence, représente la meilleure des solutions. J'approuve le compromis trouvé à l'Assemblée nationale.

Il est tout de même normal qu'un employeur prenne les décisions pour son entreprise.

Nous pourrons, à l'occasion d'une semaine de contrôle, faire le bilan du paritarisme dans la médecine du travail.