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Toutes les opérations de reconnaissance des biens culturels maritimes en milieu sous-marin peuvent rapidement atteindre des montants financiers très importants. Afin d’éviter toute dérive de la maîtrise scientifique de l’évaluation, un plafond des moyens de financement à y consacrer doit être défini à l’avance par décret en Conseil d’État, don...
Non, je le retire, monsieur le président.
Cet amendement vise à fixer le moment auquel doit être réalisée l’évaluation archéologique. Il est proposé de mettre en œuvre un protocole d’évitement des biens culturels maritimes qui pourra être intégré à l’étude d’impact. Une fois les autorisations obtenues, le choix est laissé à l’opérateur de payer la redevance d’archéologie préventive o...
Non, je le retire, monsieur le président.
En matière d’évaluation archéologique, l’État peut être tout à la fois prescripteur, évaluateur, opérateur et, bien sûr, percepteur des opérations d’évaluation. Nous voulons, à travers cet amendement, redéfinir qui fait quoi au sein de ce protocole.
Je propose, à travers cet amendement, que le taux de la RAP soit réduit de 0, 10 euro par mètre carré à 0, 04 euro par mètre carré de fouille de sol. Ce chiffre n’a pas été fixé au hasard ; il est le fruit de discussions entre le monde économique maritime et certains ministères.
Il est curieux de parler de taux incitatif pour une redevance qui n’existait pas. Il aurait été préférable, dans ce cas, de ne pas l’inventer et de se contenter de préconiser le conventionnement dans la loi. Je ne vois pas l’intérêt d’une telle démarche. En revanche, je sais qu’un taux de 0, 10 euro met en danger l’activité économique maritime.
Cet amendement s’inscrit dans le prolongement du précédent. En l’occurrence, il n’est plus question d’argent, mais d’extension de la surface de référence autour des câbles et des infrastructures de transport d’information. Le texte de loi prévoit une bande de 100 mètres de large de part et d’autre des câbles, soit une superficie considérable. ...
Nous restons sur la question des superficies sous-marines taxées, en visant cette fois toutes les superficies qui n’ont pas vocation à être mises en chantier, par exemple les bandes d’isolement ou les périmètres d’évitement. Il me semble assez inéquitable de taxer ces zones qui ne sont pas utilisées.
Non, je le retire avec confiance, monsieur le président.
Cet amendement ne recevra pas un avis favorable dans la mesure où il concerne les zones contiguës. Par conséquent, je le retire, monsieur le président.
Cet amendement vise à autoriser l’étalement du paiement de la RAP.
Non, je le retire, monsieur le président.
Cet amendement est défendu, monsieur le président.
Dans ces conditions, je retire cet amendement, monsieur le président.
Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le président de la commission des finances, mesdames, messieurs les rapporteurs, mes chers collègues, mon intervention portera sur les crédits de la mission consacrés à la recherche. Permettez-moi, pour commencer, d’exprimer un certain scepticisme – rassurez-vous, cela ne va pas durer –, celu...
Avis défavorable à l'amendement n° II-183 rectifié qui étouffe l'Agence nationale de la recherche.
Sur le fond, l'amendement n° II-573 est intéressant puisqu'il affiche la volonté d'ouvrir la recherche au grand public mais la méthode n'est pas bonne : les auteurs vont chercher des crédits où ils sont nécessaires, dans la recherche duale, c'est-à-dire civile et militaire. Avis défavorable.
L'amendement n° II-558 rectifié recrée un programme au sein des programmes. Cela a peu d'intérêt. Cet amendement est aussi un peu incohérent, puisqu'il prévoit plus de crédits de paiements que d'autorisations d'engagements. C'est inquiétant la première année de lancement d'un programme. Avis défavorable.
Mon cher collègue, vous avez pris la peine, de façon bien sympathique, de nous présenter votre amendement en décalant quelque peu votre exposé par rapport à votre objet écrit. En effet, ce dernier peut être résumé comme suit : comment tuer l’ANR, en silence, mais de la façon la plus sanglante possible !