Amendement N° 29 (Rejeté)

Mise au point au sujet d'un vote

Discuté en séance le 13 octobre 2022
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Sagesse

Déposé le 7 octobre 2022 par : M. Durain, Mme de La Gontrie, MM. Leconte, Kanner, Mme Harribey, MM. Marie, Bourgi, Sueur, Kerrouche, Cardon, Mmes Carlotti, Conconne, MM. Cozic, Gillé, Mmes Gisèle Jourda, Le Houerou, Meunier, M. Jacquin, Mmes Artigalas, Monier, Rossignol, MM. Tissot, Mickaël Vallet, les membres du groupe Socialiste, Écologiste, Républicain.

Photo de Jérôme Durain Photo de Marie-Pierre de La Gontrie Photo de Jean-Yves Leconte Photo de Patrick Kanner Photo de Laurence Harribey Photo de Didier Marie Photo de Hussein Bourgi Photo de Jean-Pierre Sueur Photo de Éric Kerrouche Photo de Rémi Cardon Photo de Marie-Arlette Carlotti 
Photo de Catherine Conconne Photo de Thierry Cozic Photo de Hervé Gillé Photo de Gisèle Jourda Photo de Annie Le Houerou Photo de Michelle Meunier Photo de Olivier Jacquin Photo de Viviane Artigalas Photo de Marie-Pierre Monier Photo de Laurence Rossignol Photo de Jean-Claude Tissot Photo de Mickaël Vallet 

Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Exposé Sommaire :

La volonté de réprimer plus sévèrement et plus spécifiquement « les rodéos urbains » est compréhensible. Toutefois, il a déjà été légiféré sur ce phénomène avec la loi du 3 août 2018 qui a créé une nouvelle infraction, en faisant de ces « rodéos » un délit. Ce nouvel outil permet à la justice de réprimer ces actes, avec une gradation de la peine en fonction de circonstances aggravantes prévues par l’article L. 236-1 du code de la route, notamment lorsque les faits sont commis en réunion.

La difficulté actuelle réside plutôt dans la caractérisation de l’infraction qui dépend d’éléments de preuve parfois complexes à réunir. Ainsi, une augmentation de la peine prévue pour ce délit n’aurait aucune effectivité, alors que les condamnations sont déjà en train de croître.

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