Amendement N° 675 3ème rectif. (Adopté)

Mise au point au sujet d'un vote

Discuté en séance le 12 novembre 2022
Avis de la Commission : Favorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendements identiques : 100 242 242 351 351 972 )

Déposé le 7 novembre 2022 par : Mme Gruny, M. Cambon, Mmes Di Folco, Gosselin, MM. Daniel Laurent, Jean Pierre Vogel, Mme Demas, MM. Milon, Daubresse, Mme Marie Mercier, MM. Bernard Fournier, Burgoa, Mmes Malet, Thomas, MM. Karoutchi, Charon, Mme Puissat, MM. Genet, Savary, Houpert, Sido, Mmes Belrhiti, Chauvin, Delmont-Koropoulis, MM. Brisson, Somon, Mmes Drexler, Micouleau, Bourrat, MM. Mouiller, Belin, Mme Raimond-Pavero.

Photo de Pascale Gruny Photo de Christian Cambon Photo de Catherine Di Folco Photo de Béatrice Gosselin Photo de Daniel Laurent Photo de Jean Pierre Vogel Photo de Patricia Demas Photo de Alain Milon Photo de Marc-Philippe Daubresse Photo de Marie Mercier 
Photo de Bernard Fournier Photo de Laurent Burgoa Photo de Viviane Malet Photo de Claudine Thomas Photo de Roger Karoutchi Photo de Pierre Charon Photo de Frédérique Puissat Photo de Fabien Genet Photo de René-Paul Savary Photo de Alain Houpert 
Photo de Bruno Sido Photo de Catherine Belrhiti Photo de Marie-Christine Chauvin Photo de Annie Delmont-Koropoulis Photo de Max Brisson Photo de Laurent Somon Photo de Sabine Drexler Photo de Brigitte Micouleau Photo de Toine Bourrat Photo de Philippe Mouiller 
Photo de Bruno Belin Photo de Isabelle Raimond-Pavero 

Supprimer cet article.

Exposé Sommaire :

Cet article prévoit de généraliser la subrogation pour le versement des indemnités journalières (IJ) maternité, paternité et adoption. Concrètement, cela signifie que désormais le versement de ces IJ incomberait systématiquement aux entreprises et non plus à l’Assurance maladie, qui rembourserait les employeurs dans un délai maximal (qui pourrait être fixé par décret à 7 jours).

Le présent amendement vise à supprimer cette disposition relative à la subrogation des indemnités journalières « jeune enfant ». Si l'objectif d'une réduction des délais d'indemnités journalières ne peut qu'être partagé, dans l'intérêt des assurés, la voie choisie par le Gouvernement créerait une nouvelle obligation qui pèserait sur les entreprises (en particulier les TPE-PME) avec de significatives charges administratives et financières. Par ailleurs, les employeurs ne sauraient être considérés aussi systématiquement comme « prestataires pour compte de tiers » de la sécurité sociale.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.

Inscription
ou
Connexion