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337 interventions trouvées.

Monsieur le secrétaire d’État, je vous remercie de votre réponse. Toutefois, mon pessimisme reste entier. Dans nos communes rurales et dans nos bourgs-centres, la population vieillit et s’inquiète de ne pouvoir accéder aux soins très rapidement, l’hôpital le plus proche se trouvant à plusieurs dizaines de kilomètres. Cette préoccupation est à ...

Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, depuis près de cinq siècles, notre pays est une des principales puissances maritimes mondiales, tant par le respect qu’ont toujours inspiré notre marine et ses infrastructures portuaires que par l’immensité de notre littoral, de la métropole à l’outre-mer. Dans la compé...

Monsieur le secrétaire d'État, la Conférence des parties à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, qui se déroule actuellement à Copenhague, revêt une importance fondamentale pour sauvegarder l’équilibre climatique de notre planète et, par voie de conséquence, pour anticiper les bouleversements écologiques majeurs...

Monsieur le secrétaire d’État, je vous remercie de votre réponse. La mise en place de collecteurs flottants est une solution simple et évidente, qui, de surcroît, ne coûterait rien aux collectivités et permettrait d’apaiser le mécontentement des pêcheurs professionnels. Ces derniers se plaignent en effet avec force, leurs prises étant aux deux ...

Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, d’année en année, le budget des anciens combattants ne change pas ; il est pratiquement toujours le même. Comme les années précédentes, il continue d’être à la baisse : moins 47, 5 millions d’euros pour cette année et moins 110 millions d’euros en crédits de paiement, c...

La troisième génération du feu, dont je fais partie, puisque j’ai effectué mon service militaire pendant 28 mois en Algérie, y est particulièrement attachée.

En conclusion, monsieur le secrétaire d’État, ce budget étant identique à celui des années précédentes, il ne peut répondre à certaines urgences. C’est la raison pour laquelle je ne le voterai pas. (Applaudissements sur certaines travées du RDSE, ainsi que sur les travées du groupe socialiste et du groupe CRC-SPG.)

Ma question s'adresse à M. le ministre de l'alimentation, de l'agriculture et de la pêche et concerne la colère du monde viticole. Monsieur le ministre, après la forte mobilisation d’hier à Montpellier, qui a réuni les viticulteurs de six départements, un message très fort et très clair vous a été adressé : les viticulteurs veulent pouvoir viv...

Ce rassemblement, par son ampleur, a donné la mesure de la profonde détresse des vignerons et des viticulteurs. Aujourd’hui, ils sont désespérés et déçus par les dernières mesures annoncées. Mon collègue Roland Courteau a déjà attiré votre attention sur ces problèmes.

La crise viticole vient de franchir un nouveau palier. En 2008, le revenu annuel de 85 % des exploitants viticoles se situait en dessous du seuil de pauvreté. Nombreux sont ceux qui n’ont eu d’autres choix que de solliciter le bénéfice du revenu minimum d’insertion, le RMI, ou du revenu de solidarité active, le RSA. Ils sont devenus des travail...

Le 27 octobre dernier, le Président de la République, dans son discours sur l’avenir de l’agriculture, a présenté un plan d’urgence. Il a déclaré : « Cette crise s’attaque à un secteur stratégique qui constitue un élément absolument incontournable de notre identité nationale ». Cependant, comme toujours, les réponses apportées ne sont pas sati...

Monsieur le ministre, quand entendrez-vous que les professionnels de ce secteur souhaitent des prix rémunérateurs, une harmonisation des règlements européens et, surtout, une régularisation des marchés ? Dernièrement, vous avez déclaré, dans le Pas-de-Calais : « L’agriculture est un chef-d’œuvre en péril et qu’il faut tout faire pour lui redon...

Le malaise est tel qu’il engendre des actions violentes et des actes parfois désespérés. Monsieur le ministre, vous étiez très jeune en 1976, mais vous avez sans doute entendu parler du drame de Montredon.

J’y viens, monsieur le président, mais ce sujet est très important pour l’avenir de l’agriculture !

M. Robert Tropeano. Il s’est traduit par la mort d’un viticulteur et d’un CRS, car le gouvernement de l’époque n’avait pas été attentif au désespoir et à la colère des vignerons.

Il est donc urgent que le dialogue reprenne, sinon c’est la mort économique et écologique des régions viticoles !

M. Robert Tropeano. Monsieur le ministre, allez-vous mettre en place rapidement des dispositions équitables, génératrices d’espoir pour notre agriculture et pour notre viticulture ?

Monsieur le président, messieurs les ministres, mes chers collègues, l’automne est arrivé avec son wagon de réformes. Alors même que la crise financière impose la solidarité de la puissance publique, le Président de la République a réussi, dans un ordre du jour plus que chargé, à introduire successivement la transformation de La Poste, la supp...