Amendement N° 93 2ème rectif. (Retiré)

Sécurité globale

Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendement identique : )

Déposé le 15 mars 2021 par : M. Karoutchi, Mmes Valérie Boyer, Bellurot, Noël, Micouleau, M. Regnard, Mme Deromedi, M. Guerriau, Mme Joseph, M. Grosperrin, Mme Laure Darcos, M. Chasseing, Mmes Thomas, Garriaud-Maylam, M. Le Gleut, Mme Chauvin, MM. Bacci, Vogel, Bonnus, Mme Lassarade, MM. Lagourgue, Louault, Mme Marie Mercier, MM. Lefèvre, Bonne, Darnaud, Mme Lopez, MM. Bascher, Genet, Mmes Gruny, Dumont, M. Guené, Mme Deseyne, MM. Moga, Sido, Pemezec, Bouchet, Mmes Billon, Di Folco, MM. Rapin, del Picchia, Alain Marc, Menonville, Mmes Delmont-Koropoulis, Guidez, MM. Daniel Laurent, Brisson, Savin, Savary, Mme Ventalon, M. Gueret, Mme Dumas, M. Burgoa, Mmes Raimond-Pavero, Gatel, M. Longeot, Mme Deroche, MM. Bernard Fournier, Cuypers, de Nicolay, Laménie, Longuet, Boré, Le Rudulier, Mme Pluchet, MM. Hingray, Tabarot, Henri Leroy, Mme Drexler, MM. Gremillet, Charon, Milon, Maurey, Meurant, Bouloux, Mme de Cidrac.

Photo de Roger Karoutchi Photo de Valérie Boyer Photo de Nadine Bellurot Photo de Sylviane Noël Photo de Brigitte Micouleau Photo de Damien Regnard Photo de Jacky Deromedi Photo de Joël Guerriau Photo de Else Joseph Photo de Jacques Grosperrin Photo de Laure Darcos Photo de Daniel Chasseing 
Photo de Claudine Thomas Photo de Joëlle Garriaud-Maylam Photo de Ronan Le Gleut Photo de Marie-Christine Chauvin Photo de Jean Bacci Photo de Jean Pierre Vogel Photo de Michel Bonnus Photo de Florence Lassarade Photo de Jean-Louis Lagourgue Photo de Pierre Louault Photo de Marie Mercier Photo de Antoine Lefèvre 
Photo de Bernard Bonne Photo de Mathieu Darnaud Photo de Vivette Lopez Photo de Jérôme Bascher Photo de Fabien Genet Photo de Pascale Gruny Photo de Françoise Dumont Photo de Charles Guené Photo de Chantal Deseyne Photo de Jean-Pierre Moga Photo de Bruno Sido Photo de Philippe Pemezec 
Photo de Gilbert Bouchet Photo de Annick Billon Photo de Catherine Di Folco Photo de Jean-François Rapin Photo de Robert del Picchia Photo de Alain Marc Photo de Franck Menonville Photo de Annie Delmont-Koropoulis Photo de Jocelyne Guidez Photo de Daniel Laurent Photo de Max Brisson Photo de Michel Savin 
Photo de René-Paul Savary Photo de Anne Ventalon Photo de Daniel Gueret Photo de Catherine Dumas Photo de Laurent Burgoa Photo de Isabelle Raimond-Pavero Photo de Françoise Gatel Photo de Jean-François Longeot Photo de Catherine Deroche Photo de Bernard Fournier Photo de Pierre Cuypers Photo de Louis-Jean de Nicolay 
Photo de Marc Laménie Photo de Gérard Longuet Photo de Patrick Bore Photo de Stéphane Le Rudulier Photo de Kristina Pluchet Photo de Jean Hingray Photo de Philippe Tabarot Photo de Henri Leroy Photo de Sabine Drexler Photo de Daniel Gremillet Photo de Pierre Charon Photo de Alain Milon 
Photo de Hervé Maurey Photo de Sébastien Meurant Photo de Yves Bouloux Photo de Marta de Cidrac 

Compléter cet article par un paragraphe ainsi rédigé :

.... - Au septième alinéa de l’article L. 114-2 du code de la sécurité intérieure, les mots : « l’employeur lui propose un emploi autre que ceux mentionnés au premier alinéa et correspondant à ses qualifications. En cas d’impossibilité de procéder à un tel reclassement ou en cas de refus du salarié, » sont supprimés.

Exposé Sommaire :

La loi du 22 mars 2016 a institué la possibilité pour les entreprises de demander aux autorités publiques si un candidat ou un salarié affecté à une fonction sensible est compatible avec la sûreté des personnes ou des biens.

L’article L. 114-2 du Code de la sécurité intérieure prévoit que lorsque le résultat d’une enquête réalisée sur un salarié fait apparaître que son comportement est incompatible avec l’exercice des missions pour lesquelles il a été recruté ou affecté, l’employeur lui propose un emploi et correspondant à ses qualifications. Ce n’est qu’en cas d’impossibilité de procéder à un tel reclassement ou de refus du salarié que l’employeur peut engager à son encontre une procédure de licenciement.

Toutefois il est inopportun de reclasser dans une entreprise un employé dont les autorités publiques ont estimé que son comportement était incompatible avec la sûreté des personnes et des biens. Le licenciement d’un tel salarié devrait pouvoir être autorisé sans mettre à la charge de l’entreprise une obligation préalable de recherche de reclassement. Tel est l’objet de cet amendement.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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