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Nous sommes en revanche bien plus préoccupés par les décrets d’application de la loi Climat et résilience sur l’avenir du bâti agricole. Rien ne dit que nos agriculteurs pourront continuer demain à construire les structures nécessaires à leur activité – je suis stupéfait que votre ministère n’ait pas été consulté à ce sujet. Enfin, j’insistera...
Je me contente d'un simple rappel : le montant attribué aux chambres d'agriculture étant plafonné et la base cadastrale imposable n'ayant cessé d'augmenter, cela a conduit mécaniquement à une baisse du taux de la taxe affectée aux chambres d'agriculture et, par conséquent, à un appauvrissement de ces dernières. En conséquence, le service essen...
Lors du scrutin public n° 12 sur l’amendement n° 44 rectifié bis tendant à insérer un article additionnel après l’article 2 bis de la proposition de loi visant à améliorer l’accès aux soins par l’engagement territorial des professionnels, mes collègues Jean Pierre Vogel et Louis-Jean de Nicolaÿ souhaitaient voter pour.
Lors du scrutin public n° 12 sur l’amendement n° 44 rectifié bis tendant à insérer un article additionnel après l’article 2 bis de la proposition de loi visant à améliorer l’accès aux soins par l’engagement territorial des professionnels, mes collègues Jean Pierre Vogel et Louis-Jean de Nicolaÿ souhaitaient voter pour.
Soyons raisonnables ! Le Président de la République a dit : « Il n’y aura pas d’interdit sans solution. » Il a raison. Voilà bien des années que les néonicotinoïdes sont utilisés sur la betterave, qui n’est pas une plante mellifère. Cela signifie qu’il n’y a aucune dangerosité avérée
– aucune ! – et que la solution de l’enrobage avec des néonicotinoïdes permettait, pendant une période de quatre-vingts jours à quatre-vingt-dix jours, de protéger la plante le temps de son développement. Il n’y avait aucune trace, de quelque nature que ce soit, à part celle que certains veulent inventer, mais qui ne s’appuie sur rien de concret.
Si vous ne permettez pas le développement de la recherche pour que nous puissions nous passer de néonicotinoïdes en 2028 et continuer à produire de la betterave, alors nous serons totalement dépendants de nos importations pour ce qui est du sucre, de l’alcool, du gel hydroalcoolique, du carburant ou de l’alimentation animale.
Soyons raisonnables ! Le Président de la République a dit : « Il n'y aura pas d'interdit sans solution. » Il a raison. Voilà bien des années que les néonicotinoïdes sont utilisés sur la betterave, qui n'est pas une plante mellifère. Cela signifie qu'il n'y a aucune dangerosité avérée
– aucune ! – et que la solution de l'enrobage avec des néonicotinoïdes permettait, pendant une période de quatre-vingts à quatre-vingt-dix jours, de protéger la plante le temps de son développement. Il n'y avait aucune trace, de quelque nature que ce soit, à part celle que certains veulent inventer, mais qui ne s'appuie sur rien de concret.
Si vous ne permettez pas le développement de la recherche pour que nous puissions nous passer de néonicotinoïdes en 2028 et continuer à produire de la betterave, alors nous serons totalement dépendants de nos importations pour ce qui est du sucre, de l'alcool, du gel hydroalcoolique, du carburant ou de l'alimentation animale.
Nous n’avons pas de leçon à recevoir !
M. Pierre Cuypers. Monsieur le ministre, je vous demande quelques secondes de lucidité !
Avons-nous actuellement l’énergie nécessaire pour faire fonctionner ces véhicules électriques ? Chaque jour, les médias nous mettent en garde contre les risques de rupture d’alimentation électrique, en nous incitant, comme l’a rappelé M. Dominati, à éteindre les lumières, etc. Vous nous conduisez dans le mur avec le tout-électrique – voyez ce ...
Très bien !
Défendu !
Défendu.
Je retire mon amendement n° I-898 rectifié ter !