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Sur les évacuations sanitaires, le problème est que l'aéroport est dangereux. Les vols la nuit sont interdits. L'avion est une option, une réflexion sur l'éclairage de l'aéroport est en cours. Il vise notamment à assurer un moyen non dépendant des avions commerciaux. L'hélicoptère peut sembler la meilleure solution pour les évacuations. Toutefo...
Le coût du logement est un problème fondamental en effet. Pour attirer des personnels médicaux, il faut qu'ils puissent se loger, mais ni l'État ni l'hôpital n'ont les moyens pour proposer des logements en nombre suffisant à cause des prix. La COM ne peut pas assurer à elle seule le logement des personnels hospitaliers. M. Artano a raison, nous...
Je salue la constance de notre rapporteur pour trouver des solutions au problème de la désertification médicale. Confucius disait : « Lorsque tu fais quelque chose, sache que tu auras contre toi, ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui voulaient le contraire, et l'immense majorité de ceux qui ne voulaient rien faire. » Cela dit, je so...
Madame Rossignol, vous avez prétendu que nous n’avions pas auditionné les syndicats ; c’est faux. Vous savez très bien que la commission des affaires sociales a auditionné l’ensemble des syndicats de salariés. Tout le monde était présent, à gauche comme à droite. En revanche, quand nous avons également auditionné les syndicats patronaux, la dro...
M. Alain Milon. Seule Mme Raymonde Poncet Monge est restée.
Ensuite, je me suis souvenu d’une phrase de Spinoza : « Ni rire, ni pleurer, ni haïr, mais comprendre. » J’essaie de comprendre la loi du 20 janvier 2014 garantissant l’avenir et la justice du système de retraites. Ce texte avait été déposé à l’Assemblée nationale le 18 septembre 2013, transmis au Sénat le 15 octobre 2013. La rapporteure en ét...
M. Alain Milon. … sur la pénibilité, sur les femmes, sur l’accessibilité, sur le handicap et sur l’invalidité apparaissent, en revanche, comme des mesures qui visent à adoucir les rigueurs de la loi Touraine.
Nous avons reçu les syndicats ensemble !
Ce n’est pas vrai !
Il est retiré, monsieur le président !
Il est défendu.
En écoutant l’ensemble de nos collègues, je me pose deux questions. Je dois probablement être un peu naïf, mais je me demande pourquoi l’on a besoin de revenir sur un amendement que l’on a déjà présenté pour se convaincre qu’il est bon et demander à ses collègues de le voter.
M. Alain Milon. Serait-ce parce que vous considérez que ceux qui sont en face de vous – et qui, pour une fois, pensent la même chose que vous – n’ont pas compris ce que vous disiez, ce qui serait extrêmement désobligeant pour nous ?
Je voudrais tout d’abord remercier René-Paul Savary de ses propos, qui sont en fait le fruit d’une réflexion que nous menons depuis quelques années avec lui-même, Catherine Deroche et tous les membres de la commission des affaires sociales issus du groupe Les Républicains. Autrement dit, nous travaillons, nous avons travaillé, et tout cela san...
J’aimerais que l’on passe maintenant au vote, monsieur le président, parce que je pense qu’il y a urgence.
Si j’en crois la réponse de M. le ministre, mon amendement n° 178 est satisfait. Je le retire donc.
Cet amendement tend à supprimer l’article 1er bis, pour au moins trois raisons. Premièrement, l’article constitue un cavalier social qui n’a pas sa place dans un projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023. En l’espèce, le rapport prévu sur la mise en œuvre du système universel de retraite n’a pas pour o...
Mon amendement, qui vient lui aussi de la Fédération nationale des accidentés du travail et des handicapés (Fnath), ne concerne que l’alinéa 6, contrairement à l’amendement de Mme Poncet Monge, qui complète aussi l’alinéa 9. Il se justifie par son texte même.
Une question à nos collègues de gauche : pourquoi parler autant en séance publique, et déserter notre commission ?
Vous dites que le parti Socialiste, Écologiste et Républicain s'appuie sur la Constitution. Mais, dans le même temps, vous critiquez le Gouvernement qui, pourtant, s'appuie lui aussi sur la Constitution. Aux termes de la Constitution, le Gouvernement dépose des projets de loi et le Parlement les vote et peut les amender. Appliquons la Constitut...