14 juin 2019

Proposition de loi N° 577 (2018-2019)

organique visant à garantir une république de proximité en rendant possible le cumul de mandat de député ou de Sénateur avec le mandat de maire d’ une commune de moins de 9000 habitants ou de président d’ un établissement public de coopération intercommunale de moins de 15 000 habitants, visant à garantir une République de proximité en rendant possible le cumul de mandats

écrite par Rémy Pointereau
Photo de Rémy Pointereau 

cosignée par Anne-Catherine Loisier, Anne-Marie Bertrand, Annie Delmont-Koropoulis, Brigitte Micouleau, Catherine Deroche, Catherine Di Folco, Chantal Deseyne, Claudine Thomas, Corinne Imbert, Dominique Estrosi Sassone, Dominique Vérien, Évelyne Renaud-Garabedian, Frédérique Puissat, Jacky Deromedi, Laure Darcos, Marie Mercier, Marie-Pierre Richer, Marta de Cidrac, Nassimah Dindar, Nathalie Goulet, Nicole Duranton, Pascale Gruny, Patricia Morhet-Richaud, Sonia de La Provôté, Sylviane Noël, Sylvie Vermeillet, Viviane Malet, Alain Chatillon, Alain Dufaut, André Reichardt, Antoine Lefèvre, Bernard Bonne, Bernard Fournier, Bruno Sido, Charles Guené, Charles Revet, Claude Kern, Claude Nougein, Damien Regnard, Daniel Chasseing, Daniel Laurent, Dany Wattebled, Didier Mandelli, Dominique de Legge, Édouard Courtial, François Calvet, Gérard Longuet, Guy-Dominique Kennel, Hervé Maurey, Hugues Saury, Jean Bizet, Jean Pierre Vogel, Jean Sol, Jean-Claude Luche, Jean-François Longeot, Jean-François Rapin, Jean-Jacques Panunzi, Jean-Louis Lagourgue, Jean-Marc Boyer, Jean-Marie Morisset, Jean-Noël Cardoux, Jean-Pierre Decool, Jean-Pierre Grand, Jean-Pierre Leleux, Jean-Pierre Moga, Jean-Raymond Hugonet, Jérôme Bascher, Ladislas Poniatowski, Laurent Duplomb, Louis-Jean de Nicolay, Marc Laménie, Marc-Philippe Daubresse, Max Brisson, Michel Canevet, Michel Magras, Michel Savin, Michel Vaspart, Olivier Paccaud, Philippe Mouiller, Pierre Charon, Pierre Cuypers, Ronan Le GleutStéphane Piednoir

Mots-clés

constitution
garantir une république de proximité
pouvoirs publics

9 commentaires :

Le 12/10/2018 à 10:19, oudin (universitaire spécialiste de la médiation et praticien de la médiation) a dit :

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On ne clarifie pas la distinction entre médiation et conciliation en changeant dans quelques articles un mot par un autre! Pour remplir cet objectif, il convient d'avoir une reflexion beaucoup plus profonde car les incidences sont très importantes. Le conciliateur n'a pas le même statut et la même formation que le médiateur, il ne procède pas non plus de la même façon. Réserver le mode amiable initié par le juge au seul conciliateur marquerait une réelle régression et iirait à l'encontre de la volonté du législateur de développer la résolution amiable.

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Le 12/10/2018 à 11:32, Jacques Salzer a dit :

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L’intention de clarification est louable et positive. Sans entrer dans les détails (mais restant à votre disposition ) il est utile de se mettre d’accord et préciser publiquement les méthodes (conciliation et médiation: leurs similarités, leurs différences, leur utilité et leurs usages respectifs (comme évoqué dans le précédent commentaire. Après, on pourra décider de leur utilisation dans le cadre judiciaire ou non judiciaire. Après il sera possible de parler du choix conscient pour le juge comme pour l’usager. Enfn, il pourrait être aussi envisagé un nouveau statut avec formation solide aux deux méthodes, avec double compétence CONCILIATEUR-MÉDIATEUR, choisi et choisissant au cas par cas d’iutiluser l’une ou l’autre des méthodes, ou allant de l’une à l’autre en fonction des besoins.

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Le 14/10/2018 à 08:57, Myriam BACQUÉ (Médiatrice) a dit :

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Il est surtout indispensable pour clarifier la distinction entre médiation et conciliation, de prévoir une loi-cadre sur les modes amiables de règlement des différends et d'instaurer un statut professionnel des médiateurs comme l'appel de ses voeux le collectif national MÉDIATION 21 dans la lettre d'orientation de septembre 2018 adressée aux sénateurs. Ces recommandations sont le fruit des Etats Généraux de la Médiation qui ont eu lieu dans les murs de l'Assemblée nationale, le 15 juin 2018 et ont recueilli plus de 1 500 contributions.

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Le 26/11/2018 à 15:55, CLOCHARD Jean-Michel a dit :

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A la lecture de l'Amendement N° I-91 rectifié au texte N°20182019-146, je vois une réponse POSITIVE à ma demande.J'espére que le sort "indéfini" se transformera en "Acceptation définitive" pour le bien de tous parents ou entrepreneurs au moment de la transmission au moment de la retraite d'un patrimoine gagné tout au long d'une vie laborieuse comme le font beaucoup de Français de base vivant souvent misérablement pour honorer les dettes causées par par la création d'un capital qui profite plus à l'État qu'au créateur !

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Le 03/12/2018 à 19:12, chauvin a dit :

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Bonjour,

Taxe de séjour

Rappel: l'expérience en province prouve que des hébergeurs ne se soumettent pas à la réglementation (par manque d'information mais aussi manque de cohérence des CDC qui ne poursuivent pas les contrevenants). A titre d'exemple, des établissements ne s’inscrivent pas auprès de leur mairie -comme il se doit lorsqu'il ne s'agit pas de la résidence principale- et ne déclarent pas la taxe de séjour. La conséquence est une frustration croissante de ceux qui versent celle-ci. Exemple dans le Ruffecois (Charente) que connaît bien Madame Bonnefoy, certaines mairies sont à peine informées des dispositions à prendre et des établissements exercent ainsi en toute illégalité. Attention à ce que le manque d'égalité devant cette taxe n'incite pas l'ensemble des hébergeurs à ne plus payer en signe de protestation face au laisser aller des pouvoirs publics. D'autant que les hébergeurs ne comprennent pas toujours à quoi sert la taxe de séjour sur leur territoire.

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Le 24/01/2019 à 22:34, PER (Commerce de centre ville) a dit :

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Les commerçants attendent ce moment depuis longtemps. C’est une chance unique de revitalisation des centres-villes face à des années de complaisance à l’égard des grandes surfaces de périphérie. C’est un nouvel outil de justice.

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Le 06/03/2019 à 16:29, VELLUTINI a dit :

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A la condition que les maires soient dans l'obligation de donner les mêmes moyens de protection et de défense que ceux accordés aux policiers et gendarmes nationaux dans de telles opérations.

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Le 06/03/2019 à 16:33, VELLUTINI a dit :

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Toujours plus de prérogatives pour les policiers municipaux qui de fait faute de moyens adaptés et obligatoires se retrouvent particulièrement vulnérables et exposés à des risques majeurs par leurs employeurs publics, mais aucune avancée sociale ne semble être à l'ordre du jour alors que les Policiers Nationaux et Gendarmes viennent d'être gratifiés de 100 euros mensuels d'augmentation de leur traitement pour les uns et de leur solde pour les autres.

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Le 09/08/2019 à 08:07, VELLUTINI a dit :

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Certes, mais l'honorable parlementaire semble ignorer que depuis le projet de Loi n°167 de Monsieur Marc BECAM en 1982, les différences de traitements relevées, il y a donc 35 ans sur le plan social entre un gardien de la Paix de la Police Nationale et un Gardien de Police Municipale sont toujours d'actualité, alors qu'il peut être affirmé que leurs missions se sont sans aucun doute sur le terrain considérablement rapprochées.

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