Dans l'examen des amendements au texte de la commission sur le projet de loi ratifiant diverses ordonnances prises sur le fondement de la loi n° 2017-1340 du 15 septembre 2017 d'habilitation à prendre par ordonnances les mesures pour le renforcement du dialogue social, nous en étions parvenus à l'article 4.
Article 4
La commission émet un avis favorable à l'amendement n° 164.
L'amendement n° 30 est satisfait. Je demanderai son retrait en séance. Pour l'heure, avis défavorable.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 30.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 136.
Avis défavorable à l'amendement n° 5 rectifié quater, contraire aux règles européennes en ce qu'il porte obligation de stockage des données des bases de données économiques et sociales en France ainsi qu'au n° 6 rectifié quater, puisque les hébergements situés dans l'Union européenne sont tout aussi exposés à des risques de piratage que ceux implantés en France.
L'amendement n° 31 prévoit l'information et la consultation du CSE sur la stratégie fiscale de l'entreprise et les prix de transfert entre entités d'un groupe. Avis défavorable.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 31.
L'amendement n° 32 donne aux représentants du personnel un droit de veto suspensif sur les projets de l'employeur en matière de restructuration et de compression des effectifs. Avis défavorable.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 32.
L'amendement n° 66, de même que le n° 95, vise à rétablir l'intéressement et la participation dans l'assiette de calcul de la contribution de l'employeur aux activités sociales et culturelles gérées par le comité social et économique. Avis défavorable.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 66, ainsi qu'à l'amendement n° 95.
L'amendement n° 13 rectifié prévoit qu'un comité social et économique central ne devra être mis en place que dans les entreprises d'au moins cinquante salariés. Avis favorable.
La commission émet un avis favorable à l'amendement n° 13 rectifié.
Avis défavorable à l'amendement n° 96, qui vise à permettre aux suppléants de participer aux réunions du CSE.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 96.
Même avis défavorable à l'amendement n° 97, qui fait obligation d'engager la négociation d'un protocole d'accord préélectoral dans les entreprises de onze à vingt salariés même en l'absence de candidat potentiel aux élections professionnelles, supprimant ainsi une souplesse favorable à ces entreprises introduite par l'ordonnance.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 97.
Défavorable à l'amendement n° 98, qui modifie les conditions de présence dans l'entreprise des salariés mis à disposition pour voter aux élections professionnelles.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 98.
L'amendement n° 159 vise à renverser la logique de la limitation dans le temps du nombre de mandats de représentants du personnel, que la loi d'habilitation a fixé, à mon initiative, à trois. Il ne s'agirait plus de fixer cette limite à trois mandats consécutifs, mais à douze ans. On l'a refusé aux élus. J'y suis défavorable.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 159.
Défavorable à l'amendement n° 139, qui vise à réduire le nombre de collaborateurs de l'employeur aux réunions du CSE.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 139.
Même avis sur l'amendement n° 140, contraire à la logique de fusion des institutions représentatives du personnel au sein du CSE.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 140.
Défavorable à l'amendement n° 141, qui vise à interdire à l'employeur de se faire assister par des collaborateurs lors des réunions de la commission santé, sécurité et conditions de travail.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 141.
L'amendement n° 155 vise à revaloriser la subvention de fonctionnement du CSE. Avis défavorable.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 155.
Même avis sur l'amendement n° 99, qui supprime les règles encadrant l'utilisation par le CSE de l'excédent de son budget de fonctionnement pour bénéficier de la prise en charge par l'employeur du coût total des expertises pour toutes ses consultations ponctuelles.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 99.
Défavorable à l'amendement n° 33, qui supprime la possibilité pour le CSE de consacrer l'excédent de son budget de fonctionnement au financement des activités sociales et culturelles.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 33.
L'amendement n° 101 vise à préciser que l'expert a accès aux mêmes documents que le commissaire aux comptes et à « tous les documents nécessaires à l'exercice de sa mission ». Sur ces deux points, il me semble satisfait.
L'article L. 2315-90 dispose déjà que l'expert-comptable a accès aux mêmes documents que le commissaire aux comptes dans le cadre de ses travaux préparatoires à la consultation sur la situation économique et financière de l'entreprise.
Quant à l'article L. 2315-83, il dispose que l'employeur fournit à l'expert les informations nécessaires à l'exercice de sa mission. Cette rédaction me semble claire : l'employeur doit fournir l'ensemble des informations et documents requis par l'expert, dès lors que sa demande s'inscrit dans le cadre de sa mission. En cas d'absence de coopération ou d'obstruction de la part de l'employeur, l'expert peut saisir le juge des référés pour obtenir communication des pièces manquantes. Je souhaiterais voir cet amendement retiré en séance et émet, pour l'heure, un avis défavorable.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 101.
L'amendement n° 100 tend à supprimer la prise en charge partielle par le CSE du coût de certaines expertises dans les entreprises de moins de 500 salariés ou lorsque le CSE à moins de 50 000 euros de subvention de fonctionnement.
Il ne semble pas tenir compte de la règle, adoptée à l'Assemblée nationale et confirmée par notre commission à cet article 4, d'une prise en charge totale du coût par l'employeur lorsque le budget de fonctionnement du CSE est insuffisant. La seule condition qui est posée, l'absence de versement d'un éventuel excédent aux activités sociales et culturelles, ne s'appliquerait de toute façon pas à ces petits CSE qui ne dégagent pas d'excédents.
Cet amendement est donc à mes yeux satisfait, et j'en souhaiterais le retrait en séance. Avis défavorable.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 100.
Avis défavorable à l'amendement n° 34, qui supprime la possibilité d'établir, par accord, une programmation des expertises
Défavorable à l'amendement n° 35, qui prévoit une prise en charge intégrale par l'employeur du coût des expertises réalisées dans le cadre des consultations ponctuelles.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 35.
Article additionnel après l'article 4
La commission émet un avis favorable aux amendements identiques n° 171 rectifié et 176.
Défavorable à l'amendement n° 38, qui tend à augmenter le nombre minimal d'administrateurs salariés pouvant être mis en place volontairement dans les conseils d'administration des entreprises.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 38.
Même avis sur l'amendement n° 102, qui étend la présence des représentants des salariés dans les conseils d'administration des entreprises.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 102, ainsi qu'aux amendements n° 103, 104, 105 et 39.
Article 4 bis
Avis favorable à l'amendement n° 11 rectifié bis, qui prévoit des exceptions au principe de la publicité des accords sur la base de données en ligne.
La commission émet un avis favorable à l'amendement n° 11 rectifié bis.
Article additionnel après l'article 4 bis
Défavorable à l'amendement n° 56, qui vise à interdire l'embauche de plus de 10 % du personnel en contrat d'intérim en cas de surcroît temporaire d'activité.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 56.
Défavorable à l'amendement n° 3 rectifié quater, qui relève de 50 à 75 salariés le seuil de mise en place du comité social et économique.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 3 rectifié quater.
Avis favorable à l'amendement n° 156, qui prévoit la présence de parlementaires au sein du conseil d'orientation de la participation, de l'intéressement, de l'épargne salariale et de l'actionnariat salarié, le Copiesas.
La commission émet un avis favorable à l'amendement n° 156.
Article 5
Défavorable aux amendements identiques n° 40 et 106, qui tendent, en supprimant l'article 5, à refuser la ratification de la troisième ordonnance.
Article additionnel après l'article 5
L'amendement n° 107 demande au Gouvernement d'engager une réflexion sur la modulation de la durée du préavis des salariés licenciés pour motif économique. Nous en reparlerons en séance mais j'y suis, pour l'heure, défavorable.
Une telle modulation se pratique, notamment en Suède. La durée du préavis est fonction du temps de formation nécessaire pour réintégrer une autre entreprise.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 107.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 108.
Article 6
Les amendements identiques n° 112 et 169 font obligation de formaliser par écrit l'accord entre l'employeur et le salarié pour recourir au télétravail en l'absence d'accord collectif ou de charte. Cependant, dans les entreprises dépourvues d'accord collectif ou de charte sur le télétravail, l'obligation de formaliser l'accord implique selon moi une trace écrite, qu'elle soit manuscrite ou informatique. L'amendement est donc satisfait et j'en souhaiterais le retrait en séance. Avis défavorable.
Les services du ministère considèrent que l'expression « tout moyen » couvre tous les actes écrits.
Je suis favorable à l'amendement n° 167, sous réserve d'une rectification. Mieux vaudrait une nouvelle réduction qui insèrerait à l'alinéa 8, après la première occurrence du mot « télétravail », « en particulier en cas d'épisode de pollution mentionné à l'article L. 223-1 du code de l'environnement. »
Essentiellement les pics d'ozone et tous ceux mentionnés à l'article L. 223-1 du code de l'environnement. On peut alors autoriser le télétravail, pour éviter au salarié de se déplacer.
Il y a là quelque chose de discriminant pour les salariés qui ne peuvent pas travailler de chez eux. Je pense, par exemple, à ceux qui travaillent sur une chaîne.
C'est le principe du télétravail, indépendamment de ces circonstances environnementales.
La commission émet un avis favorable à l'amendement n° 167, sous réserve de rectification.
Je propose le rejet de l'amendement n° 113, qui vise à obliger l'employeur à prendre en charge les coûts relatifs au télétravail. De nos jours, tout le monde dispose d'un ordinateur portable et d'un accès internet.
On considère pourtant que ce n'est pas le cas des sénateurs, puisqu'on met un crédit à notre disposition...
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 113.
L'amendement n° 15 rectifié ter tend à fixer un délai de deux mois pour la contestation, par le salarié, d'un refus de passage en télétravail. Retrait ou défavorable.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 15 rectifié ter.
Si l'amendement n° 167 de Véronique Guillotin est adopté, l'amendement n° 168 sera satisfait. Je propose donc son rejet.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 168.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 114.
L'amendement n° 49 tend à supprimer la rupture conventionnelle collective.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 49.
L'amendement n° 42 supprime les règles relatives aux contrats de chantier.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 42.
L'amendement n° 48 tend à apporter une précision sur la rupture du contrat de chantier et la procédure à suivre.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 48.
Je propose le rejet de l'amendement n° 115, qui, en modifiant les règles de la priorité de réembauche pour les anciens bénéficiaires d'un contrat de chantier, revient sur les travaux de la commission.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 115.
En revanche, je propose d'émettre un avis favorable à l'amendement n° 2 rectifié quinquies, tendant à préciser que la priorité de réembauche des anciens bénéficiaires d'un contrat de chantier doit respecter les modalités prévues par l'accord de branche étendu.
Les amendements n° 115 et 2 rectifié quinquies se ressemblent. Pourtant, vous soutenez l'un, mais pas l'autre...
L'amendement n° 115 tend à supprimer le verrou de l'accord collectif, alors que l'amendement n° 2 rectifié quinquies ne fait que compléter le texte de la commission en précisant que l'accord de branche étendu peut fixer les modalités de cette priorité de réembauche.
La commission émet un avis favorable à l'amendement n° 2 rectifié quinquies.
L'amendement n° 67 tend à supprimer les modifications apportées aux règles de la rupture conventionnelle collective.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 67.
L'amendement n° 130 vise à supprimer la rupture conventionnelle collective.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 130.
Notre commission avait prévu un contrôle minimum de l'administration sur le volet consacré aux mesures de reclassement et d'accompagnement des accords instituant une rupture conventionnelle collective. L'amendement n° 165 du groupe La République en Marche prévoit que ces mesures doivent être précises et concrètes, sans exercer de contrôle d'opportunité ou de proportionnalité par rapport aux capacités de l'entreprise. Je partage ce souhait de faire confiance aux partenaires sociaux. En outre, l'amendement assure des coordinations juridiques utiles. Sagesse.
La commission s'en remet à la sagesse du Sénat sur l'amendement n° 165.
L'amendement n° 1 rectifié quater tend à supprimer le contrôle de l'administration pour la validation d'une rupture conventionnelle collective.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 1 rectifié quater.
L'amendement n° 14 rectifié ter tend à préciser que le délai de 15 jours accordé à l'administration pour valider un accord instituant une rupture conventionnelle collective s'entend en jours ouvrables. Cette précision n'est pas nécessaire : le délai actuel, exprimé en jours calendaires, est clair. Retrait ou défavorable.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 14 rectifié ter.
L'amendement n° 43 tend à supprimer des dispositions relatives à la sécurisation des transferts conventionnels. Avis défavorable.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 43.
Défavorable à l'amendement n° 116 qui vise à relever de six à douze mois de salaire le plancher applicable à l'indemnité allouée à une salariée licenciée en méconnaissance des règles de protection de la grossesse et de la maternité.
Je voudrais rappeler brièvement l'objet de la réforme. Un barème obligatoire avec des planchers et des plafonds a été créé pour fixer l'indemnité accordée à un salarié licencié sans cause réelle et sérieuse. Le barème ne s'applique pas en cas de licenciements nuls. Dans ce cas, le code du travail prévoit que l'indemnité allouée ne peut être inférieure à six mois de salaire, sans préciser de plafond, et ce indépendamment de la nature de la nullité du licenciement : méconnaissance des règles en matière de discrimination, de harcèlement, d'accident du travail, de grossesse et de maternité, par exemple.
Les règles doivent être simples : il ne faut pas créer de nouvelles exceptions parmi les indemnités accordées en cas de licenciement nul.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 116.
Je propose de soutenir l'amendement n° 177, qui ouvre la possibilité d'établir par simple arrêté du ministre du travail les modèles utilisés par les employeurs en cas de licenciement.
La commission émet un avis favorable à l'amendement n° 177.
L'amendement n° 144, tendant à supprimer le caractère national dans la définition du périmètre utilisé pour apprécier la cause économique d'un licenciement opéré dans une entreprise appartenant à un groupe, est contraire aux travaux de la commission, tout comme les amendements n° 44 et 117.
L'amendement n° 111, lui aussi, revient partiellement sur les travaux de la commission, puisqu'il vise à interdire l'utilisation de difficultés artificielles pour justifier un licenciement économique. Sur mon initiative, nous avons introduit la notion de fraude, déjà utilisée par la Cour de cassation, pour empêcher le recours au périmètre national. L'adoption du présent amendement remplacerait cette notion de fraude par celle de difficultés artificielles. Or nous l'avons supprimée en commission, en raison de son caractère flou et peu opérationnel. Retrait ou rejet.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 111.
Je propose le rejet de l'amendement n° 119, tendant à interdire l'information collective des salariés sur les offres de reclassement, lorsque des licenciements économiques sont envisagés. En effet, selon l'article L. 1233-4 du code du travail, l'employeur doit adresser « de manière personnalisée les offres de reclassement à chaque salarié » ou diffuser « par tout moyen une liste des postes disponibles à l'ensemble des salariés, dans des conditions précisées par décret ».
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 119.
L'amendement n° 118 vise à revenir sur une mesure de simplification de l'ordonnance, qui crée un régime unique pour les offres de reclassement concernant des emplois situés en France.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 118.
Selon le premier alinéa de l'article L. 1233-61 du code du travail, « dans les entreprises d'au moins cinquante salariés, lorsque le projet de licenciement concerne au moins dix salariés dans une même période de trente jours, l'employeur établit et met en oeuvre un plan de sauvegarde de l'emploi pour éviter les licenciements ou en limiter le nombre ».
L'amendement n° 120 tend à relever ce seuil d'effectif de 50 à 1 000 salariés. Sans le vouloir, Jean-Louis Tourenne assouplit de manière radicale les règles du PSE, ce qui n'est sans doute pas son intention. Il voulait, me semble-t-il, viser le troisième alinéa de l'article, portant sur le transfert des entités économiques autonomes, et non le premier alinéa. Retrait ou rejet.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 120.
L'amendement n° 121 tend à abroger l'article L. 1235-2 du code du travail, autorisant l'employeur, sous conditions, à préciser les motifs d'un licenciement. Je rappelle que cet article n'institue qu'un droit à l'erreur très limité. L'employeur dispose seulement d'un délai de quinze jours et ne peut que préciser les motifs, en aucun cas en ajouter de nouveaux. En outre, la lettre de licenciement, précisée le cas échéant par l'employeur, fixe les limites du litige en ce qui concerne les motifs du licenciement. Avis défavorable.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 121, ainsi qu'à l'amendement n° 46.
Le nouveau barème prud'homal présente l'intérêt d'offrir une forme de prévisibilité aux employeurs et aux salariés. Je suis donc opposé à la suppression des plafonds fixés dans ce cadre, comme proposé par l'amendement n° 143.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 143.
Bien qu'il ait été extrêmement bien travaillé, je propose le rejet de l'amendement n° 122 qui relève de manière substantielle des planchers et plafonds du barème.
La commission émet un avis défavorable à l'amendement n° 122.
TABLEAU DES AVIS
La réunion est close à 14 h 25.